Autrefois on disais que l'amour c'était pour la vie, q'on ne rencontrait qu'une seule personne pour qui notre cœur battait et ça jusqu'à la mort. Plus tard on nous a raconter que ceci n'existait que dans les comptes de fée et que l'amour n'était qu'une illusion sauvage, un bonheur maquillé, arrangé au bon vouloir des hommes. J'ai mis dix seize ans pour y croire, en me disant que l'amour était réel. Mais quand je voyais les femmes qui m'entouraient, je me suis dis que finalement les histoires d'amour resteraient des comptes d'enfance. Il m'a fallu croiser son regard pour savoir que tout ça n'était que foutaise, que mon cerveau avait trop rapidement rangé le dossier. Je ne crois pas au coup de foudre, mais pour elle, elle que je connaissais pas, juste ses yeux qui s'étaient posé sur moi m'avait suffit pour savoir que c'était avec elle que je voudrais vieillir, que c'était avec elle que je voudrais avoir des enfants. J'ai toujours eu la réputation d'être un coureur de jupon alors que pas du tout, j'ai toujours été intéresser par les femmes, j'ai eu plusieurs copines mais jamais deux en même temps, j' aimais draguer mais je n'ai jamais ramener de filles le premier soir. Je fixais la jeune femme devant moi, dans les couloirs du lycée «
fait attention lexie c'est pas un mec pour toi »,je tournais la tête vers son amie en arquant un sourcil «
Ophélie on t'as pas sonné » je fixais la jeune femme devant moi avec un petit sourire, ça copine quitta le couloir nous étions plus que tout les deux, à quelques mètres. Ont s'étaient rapproché sans s'en rendre compte. Je me sentais irrésistiblement attiré par elle, c'était incontrôlable «
Je m’appelle Lexie, je suis nouvelle » Je serrais la main qu'elle me tendais,
je pourrais vous dire que j'ai été parcourus de frissons, que des papillons dansaient dans mon ventre, que j'aurais pu faire la roue, des sauts périlleux, faire le marathons de New-York en une heure. Mais sa n'aurait pas été assez fort comme description.
Si on faisait un saut dans le futur, d'environs quatre ans J'ai toujours détesté les bougies, ça ne sert à rien parfois ça pue et ça fous le feu à la maison. Pourtant je viens de sortir d'une boutique avec au comptant plus de 500 bougies différentes, de quoi flambé l'immeuble ou j'habite. J'ai fêter mes vingt ans il y a quelques jours et j'ai donc reçu l'héritage que mes parents m'avaient laissé, ce n'est pas une fortune mais de quoi tenir quelques années. Je venais de terminer la fac et j'avais trouvé un petit boulot comme architecte, ce n'était pas le top comme travaille mais c'était assez bien payé pour dessiné. Nous étions samedi, et comme tous les samedi Lexie était sortie pour la journée, une journée shopping avec des amies à elle. Et moi je lui réservais une surprise. Une fois à l'appartement je mis des bougies partout dans le salon, j'avais préparé à manger, sans manquer de recommencer cinq fois le dessert et cramer le pain, mais tout était près. Des clés se font entendre dans la serrure, je servais du verre de vin et fit mon plus beau sourire. Lexie lâcha ses sacs par terre avant de fermer la porte «
moi qui croyais que tu détestais les bougies.. » lexie est les compliments c'était pas encore ça. «
vient manger » je l'embrassais tendrement avant de lui tirer une chaise pour qu'elle s’asseye, je pris la chaise à côté d'elle et nous commencions à manger «
c'est vachement bon ! » je souris timidement je ne serais jamais habitué à ses compliments, ils étaient si rare, même si je savais qu'elle les pensaient elle ne les disaient pas forcément. À la fin du repas, elle est allée au salon avant de pousser un cri, je me suis levé à mon tour en allant au salon, elle était à genoux devant un bouquet de fleur avec un coffret posé sur la table, curieuse comme elle est j'étais sur qu'elle l'ouvrirai «
épouse moi Lexie » elle s'est retournée vers moi les larmes aux yeux, elle faisait des signes de têtes pour me dire oui, elle n'arrivait pas à parler. J'ai pris la bague de ses mains pour la glisser à son doigts.
(1 an plus tard) On imagine pas voir quelqu'un partir en courant au moment le plus important de sa vie J'étais entrain de faire mon nœud papillon avec mon meilleur ami qui essayais de me faire rire, tellement j'étais stressé, j'avais les mains mouate le cœur qui battait et je transpirais comme un veau. Je buvais un verre d'eau avant de le laisser tomber quand on annonçait que c'était l' heure de rentrer «
je vais mourir » Je traversais l'église avant de me rendre à côté du prêtre, je regardais les invités et mon meilleur amis à côté de moi, la marche nuptial venait de commencer et Lexie est rentré au bras de son père, elle était magnifique, sublime et incroyablement attirante. Je la regardais avancé vers moi, je souriais comme si je faisais une pub pour un dentifrice. Elle arrivait à coté de moi et la cérémonie pouvais commencer. Après une heure de cérémonie la partie la plus intéressante de la cérémonie arrivais enfin. «
Lexie, jasmine fox voulez vous épousez Mikael-david, andrew Shider ? » je regardais mon meilleure ami avec un grand sourire, j'avais répondu oui il y a quelques secondes «
non » je revenais sur Lexie avec des yeux qui auraient pu jaillir en dehors des orbites «
non ?! » elle s'excusa en prétextant qu'elle était trop jeune et elle est partie en courant suivis par ses demoiselles d’honneurs en me laissant seul à l' autel. Mon meilleur ami posa une main sur mon épaule en la pressant, comme pour me dire qu'il était désolé. Je chassais sa main d'un mouvement de l'épaule avant de courir après Lexie, la jeune femme était entrain de monté dans la limousine, poussant ses amis à côté de la voiture je suis montée à sa suite. «
je m'en fous que tu aies dit non, je m'en fous que tu ne veuilles pas te marier maintenant ou jamais. Mais je n'en m'en fous pas de te perdre, dis le moi, est-ce que tu me quittes ? » la voiture venait de démarrer, Lexie était là devant moi en robe de mariée le visage trempé de larmes, elle ne me regardais pas, je ne sais même pas si elle m'avait écouté. Je demandais au chauffeur de s'arrêter, je suis descendu de la voiture en jetant un dernier regard à Lexie avant de claquer la porte, et de regarder la voiture partir.
(après et maintenant) WE BORN TO DIRE Il a fallu six mois à Lexie pour revenir vers moi, me demandé pardon pour tout ce qu'elle avait fait. J'étais fous de rage pourtant le simple fait d'entendre sa voix, me calmait, je me sentais bien. Et je lui est pardonné. Avant d'aller l' embrasser j'ai sortis deux papier du tiroir de la table basse du salon, je lui est tendu le papier vide. «
cadeaux ! » elle pris la feuille de mes mains avant de sauté au plafond, et de me prendre dans ses bras.