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| Sujet: MARLA ✁ spread my wings and fly away. Sam 21 Juil - 1:38 | |
| [Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image] griggs-serrano, marla cassiopée " amusante ; râleuse ; compréhensive ; bornée ; minutieuse ; sensible ; hyperactive ; moqueuse ; persévérante ; lunatique ; observatrice ; impatiente ; protectrice ; sure d'elle "
NOM(S) ∞ Marla possèdent deux noms de famille depuis le divorce de ses parents. Elle n'a jamais aimé devoir choisir son père ou sa mère, et a donc combiné ses deux noms : Griggs-Serrano, le dernier venant de sa mère qui a des origines espagnoles, son père étant un bon vieux américain. PRÉNOMS ∞ Encore une fois, ses prénoms sont la preuve de son mélange d'origine. Marla a été décidé par son père, un prénom basique, tandis que Cassiopée est l'idée de sa mère. La jeune femme préfère qu'on l'appelle par son prénom Marla, car elle déteste la consonance de son deuxième. SURNOMS ∞ Marla n'a jamais aimé les surnoms, c'est pourquoi les gens aiment parfois l'a charrier en lui en assignant. Le seul qui avait la permission de lui donner un surnom, c'était son frère, et il ne cessait de la nommer " Pistache ", à cause de ses tâches de rousseurs. Ouais, son frère était un peu con. DATE ET LIEU DE NAISSANCE ∞ Dix-huit février, aux states. ÂGE ∞ Marla rentre à peine dans l'âge adulte, ayant vingt-deux printemps. Physiquement, elle fait son âge, voire même moins, mais mentalement c'est tout autre chose. NATIONALITÉ ∞ Américaine, même si de ce côté là elle aurait préféré, comme sa mère, être aussi espagnole. C'est plus classe, c'tout. MÉTIER/ETUDES ∞ Elle s'est, en quelque sorte, engagée à son tour en devenant infirmière dans l'armée. SITUATION FINANCIÈRE ∞ La classe la plus connue, celle dont on parle jamais. Ni trop riche, ni trop pauvre. Elle n'a jamais connue la misère, mais sait que sans mettre de côtés et faire attention aux dépenses elle serait dans la merde. STATUT CIVIL ∞ Elle n'y pense pas vraiment, pour elle l'amour n'a pas sa place dans sa vie. A force de regarder des histoires d'amours à la télé' qui se terminent mal ( y'a qu'à voir Roméo et Juliet, sérieux ), elle est devenue parano et a, en autre, peur de l'amour. GROUPE ∞ Devoted to my job AVATAR ∞ Holland Roden EST-IL UN SCÉNARIO ? ∞ Non, ce personnage est pondu par mon cerveau gazé par la fatigue. CRÉDITS ∞ TUMBLR, qu'est ce qu'on serait sans franchement ?fait des crises d'hyperventilation Δ son pire tic est de faire la moue avec sa bouche Δ elle n'arrête jamais de parler Δ sa plus grande peur est d'un jour se retrouver totalement seule Δ elle est lépidophobe depuis ses quinze ans, soit depuis qu'elle voit une psy Δ elle n'a jamais accepté la mort de son frère et pense qu'il est toujours vivant Δ elle a tendance à paniquer un peu trop vite Δ certain trouve qu'elle a une voix insupportablement trop aigüe Δ malgré son apparence, Marla est très, très brute Δ elle aime travailler au sein de l'armée et ne se voit pas autre part Δ Marla est une VRAIE rousse !
votre histoire
[Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]Une énième séance chez le psychiatre était au rendez-vous en ce plein mois d’août. Non sérieusement, tout le monde était en train de se dorer sur la plage tandis que moi j’étais obligée de rester le cul sur une chaise à répondre à des questions tordues. Pas vraiment des vacances de rêve quoi. Le pire, c’est que ces séances ne me servaient à rien, puisque je n’avais aucun problème. Oui je sais, la majorité des gens qui se font suivre disent ça, mais je peux vous assurer que c’est vrai. Mes parents sont vivants, et encore ensemble. Je n’ai perdu aucun proche, mis à part ma tante et mon grand père, deux morts qui ne m’ont pas vraiment marqué, je ne me suis pas faite violé, agressé ni même battue par mes géniteurs. Non, au contraire, ces derniers avaient jugé bon pour moi de m’envoyer voir une psy car mon frère était dans l’armée. « Non, sérieusement ? » Le jour où ils me l’ont annoncé, que je devais consulter, j’les ai tout simplement pas cru. J’avais cru à une mauvaise blague, mais en voyant la gueule qu’ils tiraient, j’ai compris que c’était réel. « On sait que tu souffres de l’absence de ton frère, Marla. On veut juste que tu puisses parler de tout ça à quelqu’un, puisque tu refuses de te confier à nous. » En même temps, j’avais quinze ans à l’époque, vous pouvez me dire quel adolescent de cet âge se confie à ses vieux ? J’étais donc dans la salle d’attente, remuant nerveusement ma jambe droite comme toujours. Et puis, ma psychiatre était enfin arrivée, comme toujours en retard bien entendue. Je n’avais pas prit la peine de me lever ce jour-là, j’étais de très mauvais poil. « Mademoiselle Griggs, si vous le voulez bien, allons commencer la séance. » J’étais alors restée à la fixer depuis mon siège, lui offrant mon plus beau sourire qui soit. « Et si je n’en ai pas envie ? ». Elle avait alors soupiré, connaissant mon caractère à force de me voir. Elle s’était alors agenouillée face à moi, me scrutant le regard comme pour y lire quelque chose. « Pourquoi êtes-vous si réticente à vous confier ? Essayez d’abaisser vos barrières, Marla, parler vous ferez tellement de bien. » Ma seule réaction fut de lui rire au nez, avant d’attraper mon sac et de partir d’ici. Je me souviens que la femme avait crié un « Mademoiselle ! » qui s’était perdue entre l’espace qui nous séparait. Je courrais presque, riant de cette situation. Le fait d’avoir osé partir de la séance, d’avoir eu ce culot, m’avait juste amusé. Pourtant je savais que dès que je rentrerais, j’allais me faire salement disputer. Mais je m’en fichais pas mal, mes parents n’avaient pas vraiment le sens de l’autorité. Ils pensaient que j’étais ainsi depuis le départ de mon frère pour l’armée, ils m’avaient eux-mêmes trouvé une excuse, alors autant en profiter. Ce jour-là, en sortant du cabinet de la psy’, je n’avais pas voulu rentrer de suite. Je voulais me changer les idées, et avais donc appelé une amie à me rejoindre pour une après-midi tranquille, à faire les boutiques. J’ai toujours aimé dévaliser les magasins en fait, pourtant croyez-moi je suis loin d’être riche. J’avais juste mon argent de poche quotidien, mais tout part dans mes habits. Même l’argent que me donnaient mes parents pour m’acheter à manger les jours de cours, il partait dans un nouvel accessoire ou le nouveau sac à la mode. C’était juste plus fort que moi, d’ailleurs ça l’est toujours aujourd’hui. Une bonne partie de mon salaire part dans des habits, et je n’en suis pas très fière. « Marla, mais tu sais qu’on a quand même du payer ta séance d’aujourd’hui ! ». J’avais à peine pousser la porte d’entrée que mon père venait déjà m’agresser, le téléphone en main. La psychiatre m’avait balancé, comment faire confiance à une telle personne ? Je savais que la soirée allait être terriblement longue en voyant ma mère, derrière, les bras croisés essayant de se montrer menaçante. J’avais donc posé mes quelques sacs sur les marches de l’escalier, avait retiré mon manteau sans daigner les regarder, et les avait à mon tour fixer de façon mécontente. « On la paie pour ne rien faire, et elle ose encore venir se plaindre ? ». C’était la seule chose que j’avais trouvé à dire. Mon père avait méchamment soupiré, avant de m’inviter à prendre place dans la cuisine pour le repas, et surtout pour discuter. Je m’étais installée à mon habituelle place, et tout trois étions en train de nous regarder, attendant que quelqu’un prenne en premier la parole. Ce fut ma mère qui le fit, me demandant simplement pourquoi j’étais partie de ma séance. « Mais je vous l’ai déjà dit je ne sais combien de fois, elles me servent à rien ces séances ! C’est de l’argent jeté par la fenêtre tout ça. » « Bon écoute moi bien Marla, nous savons ce qui est bien pour toi, et ces séances sont ce qu’il y a de mieux pour toi et pour ce qu’il se passe en ce moment dans n… » « Ce qu’il se passe ?, l’avais-je coupé. Pourquoi, il se passe quoi ? » « Tu le sais très bien. Depuis que ton frère est partit, tu as énormément changé, tu as toujours été très attachée à Maël, ma puce. Son absence te marque, c’est normal. » J’avais alors fixé mon père, secouant doucement la tête de manière négative, et murmurant un « N’importe quoi. ». La dernière phrase de mon père m’avait tellement énervé que j’avais décidé de quitter la table pour partir m’enfermer dans ma chambre, comme tout ado’ fait quand elle est en colère. J’avais alors branché ma radio, et avait pousser le bouton du son à son maximum. Puis, je m’étais affalée dans mon lit et avait cherché sa photo sous mon oreiller. Scrutant chaque détail de l’image, j’avais laissé un sourire nostalgique s’installer sur mon visage, ainsi qu’une larme perler lentement sur ma joue.
[Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]C’était un mardi, je m’en souviens comme si c’était hier de ce jour. Il devait être neuf heures du matin quand je m’étais enfin décidée à me lever. Je m’étais alors dans un premier temps étalée dans mon lit, enfin de prendre le courage de m’asseoir sur le bord, attendant de m’habituer à la lumière du jour. Ce jour-là était le jour de mes dix-huit ans, mais pour moi ça n’avait aucune importance : je ne le fêtais plus depuis que mon frère était engagé. Je ne me voyais juste pas participer à une fête familiale sans lui, celui que j’adorais le plus. Alors chaque année, depuis trois ans, j’avais interdit à mes parents d’organiser quoique ce soit pour moi. J’allais passer cette journée comme si rien n’était, même si j’étais en ce jour enfin majeure, et que tout jeune de cet âge fête cela comme il se doit. Pas de Maël, pas d’anniversaire. Je m’étais alors frottais les yeux, avait soupiré et m’étais levée pour me diriger vers la cuisine. Seulement, lorsque j’ouvris la porte de ma chambre, une silhouette m’avait bloqué la route. Toujours légèrement dans les vapes, j’avais levé mon regard vers cette personne, et la première chose qui me fit le reconnaitre fut son sourire. Un petit « Non, c’est pas possible ! » était alors sortit bruyamment de ma bouche, avant que je ne me blottisses contre mon grand frère, lui tapotant le torse en répétant que ce n’était pas réel. Je m’étais refusée de pleurer, jamais devant lui. J’affichais au contraire un large sourire, entièrement satisfaite de cette surprise. Je me sentais revivre dans ses bras, et les trois années que l’ont avait perdues ensemble semblaient revenir quand j’étais contre lui. Le fait qu’il était si loin m’avait prouvé à quel point je tenais à lui, à quel point il m’était cher. Je m’étais rendue compte que les petits détails de la vie de chaque jour n’étaient plus les mêmes sans sa présence, que mes pensées se tournaient vers lui chaque nuit, et que chaque matin je me préoccupais de savoir s’il allait bien dès que j’ouvrais les yeux. Je crois que jamais je ne m’étais autant attachée à quelqu’un. Il n’était pas qu’un simple frère, mais bien comme une partie de moi-même. Déjà, quand nous étions petits, bon nombre de personne nous avouez qu’ils nous trouvez bien complices. Bien entendu, des disputes, j’en ai eu avec mon frère ! Allant même jusqu’à en venir aux mains parfois. Mais ça ne durait jamais bien longtemps, et la majorité du temps que nous passions, nous le passions à nous taquiner et à prendre soin l’un de l’autre. Maël me donnait plus d’amour que n’importe qui ne l’a fait, ou ne le fera. Il a toujours occupé la plus grande partie de mon cœur, et même aujourd’hui, c’est toujours le cas. Mon amour fraternel est pour moi bien plus fort que n’importe quel amour. Maël avait alors passé sa main dans mes cheveux, se penchant pour me déposer doucement un baiser sur le front, avant de lever mon visage face au sien. « Bon anniversaire, Pistache. ». Je ne l’avais alors pas lâché d’une semelle de la journée, et exceptionnellement, cette année j’avais autorisé mes parents à me fêter mon anniversaire, ma majorité. Nous voir assis à quatre me fit un choc, durant ses trois dernières années j’avais prit l’habitude de ne voir que trois sièges occupés. Mais enfin, la table était remplie, et nous eûmes droit à un repas animé, contrairement aux autres où le silence était maitre. Mon frère nous parlait alors de comment s’était là bas, ce qu’il y faisait, nous expliqué ses missions. J’avais parfois du mal à comprendre quelques petits détails, mais j’avoue que déjà à cette époque, l’armée m’intéressait énormément. C’était d’ailleurs pour cette raison que j’avais entamée des études de médecine, dans le but de devenir infirmière et de pouvoir être aux côtés de mon frère, même là-bas. C’est à cette époque que j’ai d’ailleurs compris que jusqu’ici, j’avais tracé toute ma vie en fonction de Maël. « Alors, frangin, tu repars quand ? », lui avais-je demandé, avalant une nouvelle fourchette des affreuses lasagnes de ma mère. Mais mon frère ne me répondit pas, et s’était contenté de me piquer une bonne part de mon assiette, pour ensuite m’offrir une jolie grimace. J’avais alors fait de même, et il avait réussi à me faire oublier ma question durant tout notre jeu enfantin. Et puis, notre repas du midi se termina, et Maël demanda les clefs de voiture à mon père, qui après un long moment de réflexion, accepta de les lui refiler. Mon frère m’avait alors prit par la main, et m’invita à une après-midi rien qu’avec lui. Je n’avais aucune idée de l’endroit où nous allions, mais je m’en fichais. Je pouvais partir n’importe où, tant qu’il était là. « Alors, comment se porte ton p’tit copain ? » « Qui te dit que j’ai un p’tit copain d’abord, banane ? » « Oh c’est vrai, pas qu’un à mon avis. Vu la sublime jeune femme que t’es devenue tu dois avoir un harem, einh ? ». Je lui avais alors tapé l’épaule, pour lui faire comprendre qu’il était idiot et que c’était entièrement faux. « En tout cas, tu me refileras leur adresse, j’irai leur faire un p’tit coucou. » « J’ai pas de p’tit copain, Maël. » « Oh, alors une p’tite copine ? Mon dieu ça va faire un choc aux parents, ils n’auront pas de petits enfants ! » « T’es con ! ». La route s’était continuée dans cette ambiance, et je ne prenais pas la peine de regarder le paysage pour avoir où il m’emmenait. Tout ce que je voyais, ce jour là, c’était le sourire de mon frère, sa voix, son rire si bruyant et son regard. Je me ressentais vivre. C’est donc au bout d’une bonne heure de voiture que nous arrivions dans une grande ville, pas très loin de chez nous. Maël avait alors garé la voiture, et m’avait de nouveau attrapé la main pour me guider vers l’endroit où nous devions passer le reste de la journée. Sans poser de question, je l’avais alors suivit, lui donnant toute ma confiance. Ce fut donc, surprise et émerveillée, que je vis au loin une fête foraine. Immense, je sentais en moi la gamine de cinq ans devenir toute fofolle. Lorsqu’un sourire enfantin se dessina sur mon visage, mon frère se retourna vers moi pour m’en adresser un des plus tendres. Et c’est ainsi que notre journée s’était déroulée, nous avions enchainés les attractions, les stands, et mon ventre gonflait de barbe à papa et autres pomme d’amour. Nous y sommes alors restés jusque tard au soir, avant que les forains ne nous informent que le parc fermait. Le temps m’avait semblé passer si rapidement, je n’avais rien vu venir. Ballons en mains, nous étions retournés à la voiture, redirection notre maison pour enfin dormir. La route avait été légèrement plus calme qu’au départ, fatigués de tant d’événements. « Eh, banane ? » « Yep ? » « Merci pour cette journée. Tu sais, tu devrais revenir plus souvent. En fait non, tu devrais pas y retourner. J’sais pas moi, trouve toi autre chose comme métier, pas un job qui t’oblige à partir à des km de la maison. » « Marla… C’est mieux quand tu parles pas en fait. », m’avait-il lancé en m’ébouriffant la tête. Encore une fois, il avait réussi à me faire oublier ce que je venais de dire. Je baillais alors grandement, et Maël me conseilla de dormir le temps de la route. « M’abandonne pas dans la voiture après, einh !? » « Promis Pistache, allez, abaisse le siège et endors toi. J’te préviens quand on est rentré. » « Nous fait pas avoir d’accident surtout. », avais-je finis par dire, avant de m’allonger de la meilleure manière que je le pouvais sur mon siège, tournée vers mon frère. Je sentis alors sa main sur ma joue, et sombra dans un profond sommeil. Ce jour là fut le dernier où je le vis, car le lendemain, lorsque je me réveillais dans mon lit, il était repartit.
| UC.
- Spoiler:
votre pseudo ∞ BELLA CIAO. ❥, c'beau comme pseudo ah oui ? Ca vient du chant révolutionnaire italien. Ouais je sens, on s'en bat les castagnettes. votre prénom ∞ Lorenza. Ouais ben là vous comprennez le bella ciao einh ? J'suis une ritale, une vraie ! un petit surnom qui vous colle au teint ? ∞ Sur ce point, j'suis pareille que mon personnage : j'ai horreur des surnoms. Ca sert à rien j'trouve, on m'a donné un prénom, c'est pas juste pour décorer einh ! Surtout que les surnoms tirés de Lorenza, c'est bien moche. Non mais sérieux, le premier qui m'appelle Lolotte, OU PIRE, Lolo, j'le finis à la machette ! région/pays ∞ Dans la région Nord, en France. Ouais, je précise bien la RÉGION, car quand je dis le Nord, c'pas le point cardinal einh. ( ouais vous aller voir mon côté ch'timi, car j'écris sans cesse " einh " dans mes phrases ). votre âge C'moi ou les questions elles deviennent de plus en plus intimes là ? Pedobear va. J'ai dix-sept ans depuis même pas un mois. - Code:
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◖<pris>célébrité</pris> <perso>prénom & nom</perso> (si vous ne réserver pas l'avatar remplissez ce champ à la fin de votre présentation)
◖<reserve>holland roden</reserve> › <perso>marla c. griggs-serrano</perso> ( si vous réserver l'avatar remplissez ce champs et une administratrice le mettra dans le bottin)
Dernière édition par Marla C. Griggs-Serrano le Jeu 26 Juil - 3:40, édité 4 fois
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