Autrefois on disais que l'amour c'était pour la vie, q'on ne rencontrait qu'une seule personne pour qui notre cœur battait et ça jusqu'à la mort. Plus tard on nous a raconter que ceci n'existait que dans les comptes de fée et que l'amour n'était qu'une illusion sauvage, un bonheur maquillé, arrangé au bon vouloir des hommes. J'ai mis dix seize ans pour y croire, en me disant que l'amour était réel. Mais quand je voyais les femmes qui m'entouraient, je me suis dis que finalement les histoires d'amour resteraient des comptes d'enfance. Il m'a fallu croiser son regard pour savoir que tout ça n'était que foutaise, que mon cerveau avait trop rapidement rangé le dossier. Je ne crois pas au coup de foudre, mais pour elle, elle que je connaissais pas, juste ses yeux qui s'étaient posé sur moi m'avait suffit pour savoir que c'était avec elle que je voudrais vieillir, que c'était avec elle que je voudrais avoir des enfants. J'ai toujours eu la réputation d'être un coureur de jupon alors que pas du tout, j'ai toujours été intéresser par les femmes, j'ai eu plusieurs copines mais jamais deux en même temps, j' aimais draguer mais je n'ai jamais ramener de filles le premier soir. Je fixais la jeune femme devant moi, dans les couloirs du lycée «
fait attention lexie c'est pas un mec pour toi »,je tournais la tête vers son amie en arquant un sourcil «
Ophélie on t'as pas sonné » je fixais la jeune femme devant moi avec un petit sourire, ça copine quitta le couloir nous étions plus que tout les deux, à quelques mètres. Ont s'étaient rapproché sans s'en rendre compte. Je me sentais irrésistiblement attiré par elle, c'était incontrôlable «
Je m’appelle Lexie, je suis nouvelle » Je serrais la main qu'elle me tendais,
je pourrais vous dire que j'ai été parcourus de frissons, que des papillons dansaient dans mon ventre, que j'aurais pu faire la roue, des sauts périlleux, faire le marathons de New-York en une heure. Mais sa n'aurait pas été assez fort comme description.
(1 an plus tard) On imagine pas voir quelqu'un partir en courant au moment le plus important de sa vie J'étais entrain de faire mon nœud papillon avec mon meilleur ami qui essayais de me faire rire, tellement j'étais stressé, j'avais les mains mouate le cœur qui battait et je transpirais comme un veau. Je buvais un verre d'eau avant de le laisser tomber quand on annonçait que c'était l' heure de rentrer «
je vais mourir » Je traversais l'église avant de me rendre à côté du prêtre, je regardais les invités et mon meilleur amis à côté de moi, la marche nuptial venait de commencer et Lexie est rentré au bras de son père, elle était magnifique, sublime et incroyablement attirante. Je la regardais avancé vers moi, je souriais comme si je faisais une pub pour un dentifrice. Elle arrivait à coté de moi et la cérémonie pouvais commencer. Après une heure de cérémonie la partie la plus intéressante de la cérémonie arrivais enfin. «
Lexie, jasmine fox voulez vous épousez Mikael-david, andrew Shider ? » je regardais mon meilleure ami avec un grand sourire, j'avais répondu oui il y a quelques secondes «
non » je revenais sur Lexie avec des yeux qui auraient pu jaillir en dehors des orbites «
non ?! » elle s'excusa en prétextant qu'elle était trop jeune et elle est partie en courant suivis par ses demoiselles d’honneurs en me laissant seul à l' autel. Mon meilleur ami posa une main sur mon épaule en la pressant, comme pour me dire qu'il était désolé. Je chassais sa main d'un mouvement de l'épaule avant de courir après Lexie, la jeune femme était entrain de monté dans la limousine, poussant ses amis à côté de la voiture je suis montée à sa suite. «
je m'en fous que tu aies dit non, je m'en fous que tu ne veuilles pas te marier maintenant ou jamais. Mais je n'en m'en fous pas de te perdre, dis le moi, est-ce que tu me quittes ? » la voiture venait de démarrer, Lexie était là devant moi en robe de mariée le visage trempé de larmes, elle ne me regardais pas, je ne sais même pas si elle m'avait écouté. Je demandais au chauffeur de s'arrêter, je suis descendu de la voiture en jetant un dernier regard à Lexie avant de claquer la porte, et de regarder la voiture partir.
( maintenant ) l'amour avec un grand A, ça n'arrive qu'une fois dans sa vie, alors garder le précieusement vers vous. Après quelques minutes je me rallongeais sur le lit, j'avais atrocement mal partout, je tenais toujours la main de Lexie comme si elle était un radeau de survie, comme si j'allais la voir s'envoler dans les secondes qui viennent. Je fermais légèrement les yeux pour me reposer «
épouse moi », je me redressais en un un clin d’œil en me tournant vers elle, je fixais ses yeux remplis de larme, cherchant si c'était une blague, si elle était sérieuse. «
normalement c'est le contraire non, c'est à moi de te demandé », j’essayais de rire, mais tout me faisait mal, je m'allongeais une nouvelle fois sur le lit. «
ho la ferme Micky, dis moi oui est c'est tout », je faisais sembler d'hésiter, et de me poser plein de question, il fallait que je profite de ce moment là car ça n'allait pas arriver très souvent. Je lui est finalement dit oui, et quelques jours plus tard je suis sortis de l'hôpital pour la base où j'allais pouvoir profiter demain fiancée et chercher du boulot dans la base puisque j'avais fini mon temps de guerre. Cinq mois après mon accident j'ai reçu une lettre comme quoi on me renvoyait au combat dans quelques jours. Pour avoir insulté mon supérieur parce qu'il me renvoyait là-bas j'ai passée deux semaines en prison, ils m'ont libéré sur parole que je retournerais là-bas mais le soir même j'avais disparu de la base en laissant Lexie seule à la maison avec un seul mot. «
pardon d'être partit, je veux t'épouser, je t'aime et je vieillirais avec toi. Mais je ne peux pas repartir. Pardon ! » Depuis ce jour là qui date de quelques semaines nous ne nous sommes pas revu, ni pris en contact. Je savais qu'elle ne me suivrais pas, et je ne lui en veux pas.