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so hard to stay, too hard to leave it : hakuna matata bro ! ❧ FINN.

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so hard to stay, too hard to leave it : hakuna matata bro ! ❧ FINN. Empty
MessageSujet: so hard to stay, too hard to leave it : hakuna matata bro ! ❧ FINN. so hard to stay, too hard to leave it : hakuna matata bro ! ❧ FINN. EmptyDim 22 Juil - 15:33


albarn, finnley "finn"
" généreux cinglant attentionné bagarreur protecteur hypersensible cultivé froid charmant inaccessible souriant imprévisible traumatisé "

NOMalbarn, le nom de sa mère qu'il porte avec fierté. PRÉNOMSleonard, finnley "finn", rhys, alexander. SURNOMSfinn, lenny (pour les initiés), barny. DATE ET LIEU DE NAISSANCEvingt-six avril mille neuf cent quatre-vingt-sept à glasgow en écosse. ÂGEvingt-cinq ans. NATIONALITÉSécossaise et américaine. MÉTIER/ETUDESancien militaire, détective privé et philantrope. SITUATION FINANCIÈREnouvellement aisée, il est issu de la classe moyenne, très moyenne : pas assez pauvre pour recevoir d'aides, pas assez riche pour confondre l'envie et le besoin. STATUT CIVILcélibataire, il sait qu'il ne peut s'appuyer que sur sa canne, elle ne le trahira jamais. Au pire, il en a en douzaine au cas où. C'est plus fiable qu'une femme, qu'il compare souvent à des beaux diamants resplendissants mais tranchants comme des rasoirs. GROUPEtoy soldier ou not even cowardice. AVATARrobert pattinson. EST-IL UN SCÉNARIO ? ∞ non. CRÉDITS ∞ tumblr.

il a le tatouage « παραμορε » sur le poignet Δ parle avec un accent très scottish, que certains pensent anglais Δ a le sens du détail et trouve très facilement lorsque quelque chose cloche, il est capable de dénicher n'importe quelle information : c'est une fouine, un bon détective privé en somme Δ ce sens s'est affiné à l'armée, où on le surnommait "wikifouine" en raison de son sens de la déduction et de son "intelligence" Δ s'est engagé dans l'armée seulement pour ne pas laisser son meilleur ami, qu'il considère comme son frère, seul Δ a une marque sur la paume de sa main, symbolisant le pacte et la promesse faite entre les deux garçons Δ la guerre lui a pris son frère et la pleine capacité de sa jambe droite Δ abuse des antidouleurs et de l'alcool, comme de la cigarette Δ est devenu multi-millionaire d'un jour à l'autre Δ n'a plus aucun contact avec sa mère, qui n'a pas accepté qu'il s'engage dans l'armée pour une guerre aussi inutile Δ est un excellent musicien, sensible aux arts mais déteste le montrer et laisse paraître uniquement son côté cinglant, froid, presque brusque alors que c'est une crème hypersensible, comme une crème brûlée quoi sauf que le sucre est en acier trempé avec une couche de béton armé : faites attention à vos dents Δ sait faire preuve de charme, pas souvent, seulement en cas d'ultime nécessité -généralement pour son travail Δ maîtrise les arts martiaux tels que le karaté ou la boxe thaï.



Spoiler:


Dernière édition par L. Finnley Albarn le Mar 24 Juil - 17:00, édité 5 fois
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so hard to stay, too hard to leave it : hakuna matata bro ! ❧ FINN. Empty
MessageSujet: Re: so hard to stay, too hard to leave it : hakuna matata bro ! ❧ FINN. so hard to stay, too hard to leave it : hakuna matata bro ! ❧ FINN. EmptyDim 22 Juil - 15:33



« Sache que ce cœur exsangue pourrait un jour s'arrêter, si, comme un boomerang
Tu ne reviens pas me chercher et peu à peu je me déglingue, victime de ta cruauté »




votre histoire


chapitre un
☇ avril 1987 – glasgow, écosse ;

« Maman.. Il est parti.. Il a pris nos économies, ses affaires et.. il est parti. » La jeune femme se posa lourdement sur la chaise, sa mère vint à son bord, tentant de la rassurer. Cet enfant, il n’en avait jamais voulu, et il ne lui tardait qu’une seule chose : prendre les voiles. Car il avait toujours été ainsi, toujours à essayer de fuir. Elle aurait probablement dû s’en douter lorsque, lors d’une bagarre en pleine rue, il s’était caché derrière elle. Ce n’était pas un gentleman, mais il n’était pas contrariant. Il n’était pas chiant mais un peu trop souriant et beau-parleur. Parlez-lui de réalité et il vous parlera des mines de joyaux sur Mars. Il est ainsi, il aime être libre. Il ne l’a jamais tapée, il ne l’a jamais vraiment aimée. C’était sa mère qui avait présenté cet homme à sa fille chérie, tous deux issus de bonnes familles, tous espéraient un mariage. Il n’aura jamais lieu. La jeune écossaise était enceinte d’un bâtard, chose sans grande importance, sauf dans la petite bourgeoisie Écossaise. « Je suis désolée.. C’est de ma faute mais vous alliez si bien ensemble. » Oui, ils avaient formé le couple le plus charmant de tout Glasgow et au final ? Il était parti, comme un lâche, comme un traître. « Maman… la femme tournait en rond, continuant à s’excuser et à se trouver des raisons, maman… elle ne prêtait toujours pas attention à sa fille, question d’habitude probablement, MAMAN ! J’ai perdu les eaux… » Elle prit son sac et fonça en prenant sa fille par le poignet. Il allait falloir brûler quelques feux et quelques stops, mais c’était tout à fait faisable. Après tout, dans la famille, nous avons toujours eu cet amour pour le goût, cette envie presque viscérale de se rebeller contre à peu près tout et n’importe quoi.
Une vingtaine de minutes plus tard, les deux femmes poussaient les portes transparentes du service de la maternité. « ELLE A PERDU LES EAUX, ELLES A PERDU LES EAUX VIIIIIIIIITE ! » La femme criait tout ce qu’elle savait pour que l’équipe vienne s’occuper d’elle au plus vite. Une équipe se chargea d’elle au plus vite, l’emmenant en chambre : le travail avait commencé.


chapitre deux
☇ juin 1999 - brooklyn à new-york, états-unis ;

Elle posa son sac à terre, s’approchant de moi afin de déposer un baiser sur mon front. Son visage aux traits tirés marquait à quel point la fatigue l’atteignait. Comme à notre habitude, ce soir, c’était soirée plateau-télé. J’avais donc essayé d’innover dans une nouvelle recette de nachos trouvée par hasard. « Merci mon grand, heureusement que je t’ai. » J’affichais un léger sourire, l’invitant à s’assoir à côté de moi. « C’est normal m’man. Quel film te ferait plaisir ? J’ai pris Sister Act, il paraît qu’il est super bien. Voir des nonnes se déambuler, ça vaut le coup d’œil ! » Ma mère éclata de rire, et haussa les épaules en guise de réponse. Je me pris les pieds dans un carton, tombant au ralenti au sol. Je me frottai alors la tête, ma mère continuant à rire, tout comme moi. Je mis la vidéo en route, cette comédie allait nous faire le plus grand bien. Nous avions emménagé il y a peu de temps, à peu près quatre mois, quittant Glasgow et notre île royale pour la Terre de la Liberté. En plein milieu du repas, ma mère s’arrêta brusquement. J’arquai alors un sourcil, intrigué. « T’aimes pas mes nachos ? » Je ne tenais pas à la décevoir, même pour une chose aussi ridicule que des nachos. « Non non, ils sont très bons… Je me demande juste si tu es heureux ici, à New-York. J’aurais peut-être dû réfléchir plus longtemps.. » Mon bras s’enroula autour des épaules de ma mère. Je lui offris un large sourire rassurant. -« T’en avais marre de Glasgow, c’est compréhensible tu sais. C’est l’occasion de tout recommencer et puis c’est drôle, ils ont accent bizarre ici, du style : wassup nigga ! » J’imitais le style des rappeurs américains, avec un accent typiquement du nord des États-Unis. Nous avions beau faire les frais de notre accent que tout le monde pensait anglais, mais ils n’étaient pas mieux avec leur « yo » et « wassup ». J’aimais cette ville et ce que j’aimais encore plus, c’était le fait de pouvoir faire de la musique grâce au quartier. Il y avait un garçon, qui était mon voisin, nous étions toujours fourrés ensemble : les deux meilleurs amis du monde.



.



chapitre trois
☇mars 2005 – brooklyn à new-york, états-unis ;

« Quelle connerie cette guerre… A mon avis, on y va plus pour le pétrole qu’autre chose. » Lachai-je en avalant le reste de mon sandwich. La jeune femme me regardait, d’un air contrarié. Après ce qui avait pu se passer il y a deux ans, je comprenais ce qu’elle voulait dire par ce regard. Il n’y avait pas que le pétrole, mais aussi un sérieux sentiment de vengeance. Mon meilleur ami déboula alors dans la pièce, arborant un grand sourire. -« On va leur faire leur fête, tu vas voir. On s’attaque pas à notre patrie en restant tranquilles. » J’arquai mon sourcil, lâchant l’assiette dans l’évier et me dirigeant vers lui. -« Me dis pas que tu vas t’engager gros bêta. Là-bas, tu dois avoir trois chameaux qui se battent en duel. » Son sourire s’effaça, ses poings se fermèrent. -« Ils m’ont pris mon père, ils vont payer pour ça. De toute façon, t’es trop jeune pour ça, c’est pas tes affaires. » Je n’avais jamais vu son regard devenir aussi sombre, aussi plein de haine. Mon cœur se serra, il allait s’engager pour une cause qui le dépassait et risquait de gâcher sa vie pour quelques politiciens complètement timbrés. -« C’est pas en prenant la vie d’un père, d’un frère que tu te sentiras mieux, c’est pas la solution et tu le sais très bien mais c’est tellement plus facile. » Il fonça, les larmes débordant de ses yeux haineux, vers moi et me plaqua contre le mur, le miroir se brisa : sept ans de malheur en perspective. Je sentis le verre percer mon pull, s’enfoncer dans mon dos. Son coude, maintenu contre ma gorge m’empêchait de respirer, je me sentais à court d’air, de plus en plus rouge. Sa mère tenta d’intervenir, elle se fit rejeter plusieurs fois avant d’arriver à le calmer. Je m’écroulais alors au sol, respirant bruyamment en tenant ma gorge. Mon meilleur ami, que je considérais comme mon frère, avait tellement de haine à donner, je sentais encore l’empreinte de sa force sur mon cou. Il partit dehors en claquant la porte, en colère et visiblement contre lui-même. Je présentais mes excuses à sa mère et partit le rejoindre en me débarrassant des quelques résidus de miroir. « Je.. Je suis désolé, j’aurais dû te comprendre… C’est juste que voilà, je veux pas qu’on me prenne mon frère, j’ai plus que toi. » Je baissais alors la tête, faire ce genre de déclaration, cela ne me ressemblait pas vraiment. Il s’appuya contre les marches d’escaliers alors que mes bras se mirent sur mes genoux. Il avait dix-huit ans, je n’avais connu que deux formes d’amour : celui de ma mère et celui de ce frère. Une longue conversation en découla, les rires s’enchainèrent, le mal était oublié. Et cela avait toujours été ainsi, un mal pour un bien mais nous avancions, quoiqu’il arrive. Toujours ensemble, toujours à faire les mêmes conneries. Nous avions été les truands du quartier, sauf que contrairement à lui, grâce à mon âge, je bénéficiais du BDD, le bénéfice du doute. « Accorde-moi juste une faveur. Attends juste le temps que j’ai ma majorité et qu’on ait tous les deux un diplôme et on s’engagera tous les deux. Je peux pas te laisser partir là-bas, sans moi. Qui te protègerait ? T’as déjà du mal à éviter les poteaux dans les rues. » Je lui tendis ma main, alors qu’il sortit son couteau de poche, le canif de son père. Il se fit une large entaille dans la paume de la main, avant de me faire la même. Nos mains, notre sang entrèrent en contact, le pacte était scellé et cette marque sera toujours là pour nous le rappeler. « C’est d’accord Lenny, on ira la faire tous les deux cette guerre. »


chapitre quatre
☇décembre 2009 – région montagneuse, irak ;

    Maman,

    Merci beaucoup pour tes gâteaux et ta lettre, ils me réchauffent le cœur dans ce froid glacial. Tu sais, on pense que l’Irak est un pays chaud, mais on peut passer de quarante à moins vingt degrés. Il me tarde de rentrer et de te faire mes nachos, qu’on recommence nos soirées rien qu’à nous. Je suis content que ça aille mieux tous les deux et que tu finisses par accepter mon choix. Nous allons bien tous les deux, on veille l’un sur l’autre, comme deux frères tu sais. Je pense qu’après avoir sécurisé le secteur, on pourra enfin redevenir des Yankees et je pourrais enfin te serrer dans mes bras. C’est un beau pays ici, si on lui enlève la guerre et la misère. Les habitants, une fois le premier contact passé, sont très généreux. J’ai appris de nouvelles recettes et je parle un peu arabe. Rien de bien glorieux mais autant rejoindre l’utile à l’agréable. Parce qu’il y a des choses ici, qui sont assez dures. Certains se comportent comme de vrais dominateurs et n’hésitent pas à réduire la population presque en esclavagisme. J’ai d’autres images en tête, que je ne peux écrire dans cette lettre. Je ne referais pas l’armée mais au moins, je sais pourquoi est-ce que je suis ici : pour veiller sur lui.
    J’espère te revenir d’ici janvier, tu me manques tellement.
    Ton Finn.


Nous avions prié tout ce que nous avions pu pour ne pas aller dans cette région, à cette période de l’année. Le froid, pénétrant, nous contraignait à adopter une marche lente et laborieuse. Nous étions des proies faciles, et nous en avions tous conscience. « Albarn, surveille où tu mets les pieds, j’le sens mal. » Mon sergent, un homme plutôt sage, considérait ses soldats comme ses propres fils et il s’était fait un devoir : nous ramener vivant au pays. Cela faisait six mois que nous étions mobilisés en Irak, et j’hochai la tête, en mettant soigneusement ce conseil dans un coin de mon cerveau. Je ne sentais plus le bout de mes doigts, ni même le bout de mon nez. Je guettais mon grand frère, pour savoir où il en était. Depuis notre entrée dans l’armée, il avait nettement amélioré son équilibre, je la charriais souvent en disant que sa mère ne le reconnaîtrait pas. Cramponné à mon fusil, un bruit étrange attira mon attention, je sentis mon sang se réchauffer : les sens étaient mis en éveil. Un coup de feu de la part d’un de nos soldats retenti, notre supérieur pousse une gueulante. « Quel est l’idiot qui vient de signaler notre position ?! Mais t’es manchot ou.. » Une bombe explosa, l’embuscade commença. Mon frère tâcha de se mettre à l’abri alors que je fonçais le rejoindre, je ne voulais pas que quelqu’un vienne me le prendre, non. Plusieurs explosions s’enchaînèrent, des cris se firent entendre, une odeur de chair brûlée, malgré le froid glacial prenait notre odorat, j’avais envie de vomir. La fumée noire rendait toute analyse de la situation très complexe voire impossible. Une ombre se profila à l’horizon, mon grand frère se dirigea naturellement vers cette dernière. Je vis soudain sur le flanc un taliban pointant son arme dessus. Sans hésiter, j’appuyais sur la gâchette, faisant une victime de plus dans ce conflit où nous n’avions pas vraiment notre place, où nous devions faire nos études dans une université comme Yale ou Columbia au lieu d’aller dans ce gouffre qui ne trouvait pas satisfaction dans tous les corps qu’il prenait. Il paraît que lorsque l’on tue pour la première fois, on s’en retrouve changé. Il ne valait mieux ne pas se poser de questions, mais je voyais chaque nuit le visage de ces personnes, ils étaient gravés en moi. J’entendis un coup de feu, puis deux puis toute une rafale. Le corps de mon frère s’écroula lamentablement au sol, je sentis mon cœur cesser de battre, se déchirer en deux puis se désintégrer. Le souffle d’une explosion vint m’emmener au sol, je rampais contre ces pierres tranchantes, je voulais à tout prix le rejoindre. « Non, pitié non… Pas toi, t’as pas le droit ! » J’essayais alors de le secouer, enchaînant les claques et les injures. Je sentais toute la haine remonter à la surface. Dans un effort surhumain, dont je m’ignorais cette force, je le portais sur mes épaules, refusant de l’abandonner ici, ainsi, sur cette terre maudite. Les entailles causées par le sol rendait cette marche encore plus laborieuse, je n’entendais plus rien, j’étais complètement sonné mais j’avançais, rien ne pouvait m’arrêter. Alors que je commençais à rejoindre la lumière aveuglante, je sentis un déchirement dans ma jambe avant de faiblir et d’être touché au ventre puis au torse. Mes yeux se remplirent d’eau. Pas seulement de douleur mais de rage, celle de ne pas avoir pu conduire mon frère au bout de cette fichue marche. Je m’effondre, lâchant le corps inanimé de ce dernier. « Merde ! Ils ont notre uniforme ! » Qui aurait pu croire que des tirs à l’ami puisse venir à bout de deux frères ?



.



chapitre cinq
☇ octobre 2010 –hospital walter reed, washington, états-unis ;

« C’est votre grand jour lieutenant Albarn, vous allez marcher. » Je regardais le médecin, arquant mon sourcil, j’espérais que cela ne soit pas une blague de mauvais goût. Miroitant les moisissures sur les murs, je savais que les cafards allaient être de fervents supporters. Mon camarade de chambrée n’avait pas supporté l’endroit, cela l’avait rendu encore plus malade. Pour ma part, je n’en avais rien à faire. Je n’en avais plus rien à faire à vrai dire. Je ne me battais plus, je ne voulais plus. Cela avait fait trop de mal, et je me sentais désormais bien vide et seul. Mes reins allaient mieux, mon estomac aussi et j’entendais à nouveau. J’étais encore en fauteuil roulant, mais aujourd’hui allait être le jour où j’allais pouvoir enfin remarcher. J’avais fêté mon vingt-troisième anniversaire assis, abattu, à ne pas pouvoir tout manger, car il fallait faire attention. Attention à ne pas empirer l’état, attention à sa santé. Mais parfois, faire attention, ce n’est pas suffisant. Deux infirmiers m’aidèrent à me mettre directement dans le fauteuil. Je sentis une large douleur me lancer dans la jambe droite. Une légère grimace et j’avance, encore et toujours. Assis devant les deux rampes, mon cœur se serre. J’ai peur de tomber à nouveau et de tout perdre. Le garçon que j’avais été, n’avait jamais eu peur de tomber, car c’était pour mieux se relever mais je n’y arrivais pas, pas encore du moins. « Allez-y, levez-vous ! » Je serrai mes mains sur ces deux rampes, appuyant tout mon poids sur mes bras. Je me décollais alors de la chaise, bloquant ma respiration, essayant de prendre appui au maximum. Il fallait que je le fasse, que je sois assez fort pour nous deux. Je ne voulais pas le décevoir d’où il était. Je fis un pas, puis deux et, malgré la douleur, j’avançai. Il fallait que je m’y habitue, comme on s’habitue à ne devenir que l’ombre de soi-même. J’ose m’appuyer sur ma jambe malade avec plus d’assurance. Mes pieds l’un après l’autre, je vois la fin de cette putain de barre. L’enthousiasme des infirmiers se paie en gouttes de sueur et en douleur. Je le faisais pour lui, pour mon grand frère et je me devais de réussir. Un bruit sourd se fait entendre, je lâche alors prise et m’effondre à terre, encore. Le moindre bruit trop brusque, trop fort, mon cœur se déchirait à cause d’une peur sans nom. Les deux hommes viennent me lever, se voulant rassurants. « On essaiera à nouveau demain, ce n’est pas un problème. » La jeune femme me tendit un calment, et c’était parti pour le pays des rêves.


chapitre six
☇ mars 2012 –washington, états-unis ;

Je tiens fermement ma canne, regardant le couloir de tout son long. J’attends mon tour, patiemment. A vrai dire, je ne sais pas vraiment ce que cela allait donner, je ne cherchais pas vraiment à savoir, moins j’allais en savoir, et mieux je porterais. C’était évident, comme si me l’avoir pris, ce n’était pas suffisant. Comme si avoir fait cette guerre stupide, cela n’avait pas été suffisant. Non, il en fallait toujours plus, encore. « Affaire numéro 091228, vous êtes priés de vous avancer. » Mon avocate me regarda, se leva avec élégance et discernement, elle allait entrer dans son rôle. Mon regard vide fixait une peinture sans forcément chercher à l’analyser. « Hm.. Finn, nous devons y aller. » Elle resta plantée devant moi, secouant ma tête, j’esquissais un léger sourire avant de me lever grâce à ma canne. Toujours d’un pas difficile, cela me donnait l’air d’hésiter. A vrai dire, j’hésitais. Pourquoi avoir été convoqué, dans une audience à huis clos alors que je n’avais rien demandé, juste à avancer, comme d’habitude. Entrant dans la Cour, je fis le protocole de serment avant d’aller m’assoir. Une enquête avait été menée sur notre cas, remettant largement en cause l’armée américaine, un fiasco qui n’était pas nécessaire d’ajouter à la longue liste déjà. Comme si le nombre ne suffisait pas, il fallait que nos propres balles se retournent contre nous. L’avocat avait besoin de précisions, craignant un coup fourré, élaboré dans le seul but de se remplir les poches par une éventuelle indemnité. Mes yeux, rivés vers le sol, osaient parfois regarder mon avocate. « Lieutenant, veuillez nous dire ce qu’il s’est passé en février 2010. » Brusquement, mes yeux, troublés, vinrent se froncer et fixer l’homme. -« Décembre 2009, monsieur. » Il ferma le dossier, partit vérifier et revint au centre de son espace, de sa scène. -« Exact, hm. Alors ? » Je pris une longue inspiration. La jeune femme se leva d’un seul bond. –« Votre Honneur ! Je crains que ressasser des souvenirs aussi douloureux ne laisse pas mon client indifférent. De plus, l’attitude de Mr Arwindson est... »« On devait franchir cette chaîne de montagne. Avec le froid et la neige, atteindre les objectifs était compliqué, alors nous étions encore plus ralentis. Je.. Je crois qu’un soldat a tiré quelque coup sans le vouloir, c’est ce qui a signalé notre position à l’ennemi. Des explosions ont eu lieu, nous étions en déroute et il fallait se préparer au plus vite à contre-attaquer. Mais, il était seul et à découvert alors, j’ai tiré sur un taliban avant d’aller le protéger et… Il s’est écroulé, il est tombé monsieur. Alors, je voulais pas le laisser pourrir sur cette terre maudite, j’ai voulu l’emmener à l’abri, je l’ai porté. J’ai porté son corps sur mes épaules. Et j’ai entendu des tirs de nos fusils et après, je ne m’en souviens pas. » Mes yeux me piquaient, je luttais pour ne pas m’effondrer comme un enfant. Mes paupières se fermèrent, ma main tenait fermement ma jambe malade. –« C’est un beau récit Lieutenant. Comment pouvez-vous être sûr de ce que vous avancez ? Je veux dire, vous pourriez très bien être un excellent acteur et simuler tout ceci. » Je me levai brusquement, poings serrés. Ce qu’il disait était tout simplement insultant. –« J’ai prêté serment ! N’insultez pas ma parole quand on défend une armée qui n’est même pas capable de reconnaître ses propres hommes ! C’est faux ça peut-être ?! » Je soulevais alors mon pull, laissant entrevoir les cicatrices dues aux deux impacts de balles mais aussi aux pierres tranchantes, qui avaient finies par déchirer mon équipement. Je mis alors ma jambe sur la rambarde du box, relevant mon jeans. « Ce n’est pas une plaisanterie. Ne vous moquez pas des hommes qui sont morts ce jour-là, sous nos balles où sous les balles ennemies. Vous n’avez pas ce droit. » Des larmes de colère montèrent à mes yeux, devant la petite assemblée –représentante des parties-, ébahie devant ma hargne. Et je savais qu’à partir de cet instant, je ferais tout pour aider les personnes en difficultés, ayant souffert. Nous menions tous notre propre guerre, avec nos propres combats. Les armes, les tactiques étaient différentes mais les blessures, elles, étaient bien réelles. « Cela suffit maître. Asseyez-vous lieutenant. La séance est levée, je rendrai mon verdict dans deux heures. »

Mon avocate vint à mon bord, m’aidant à sortir de ce box. Par mes mouvements brusques, la douleur s’était réveillée, et je ne tardais pas à prendre deux cachets d’antidouleur, pour calmer ma souffrance physique, mais aussi morale. Parler de cela m’était encore bien trop difficile et douloureux, mais cela s’avérait être un mal nécessaire. Je lançai un regard noir en direction de l’avocat et dis d’une façon bien articulée pour qu’il comprenne mes mots : quel con. Insulter les autres, je ne le faisais pas, ce n’était pas dans mes habitudes mais cet individu, beaucoup trop zêlé à mon goût, avait trouvé mon talon d’Achille, sans pour autant l’utiliser contre moi. Enfin, nous verrons cela dans deux heures. Assis dans le hall, nous attendions notre tour, cela ne devait pas tarder. J’étais devenu calme, probablement grâce aux cachets, je me sentais léger. Comme si je n’avais plus à supporter le poids de mon corps, de ma jambe malade. « Le verdict est le suivant : la cour suprême des États-Unis vous présente d’abord ses excuses pour tout le mal causé à vous et à tous les soldats de la nation. C’est pourquoi nous vous indemnisons, à titre d’exemple et de dédommagement pour les traumatismes subis à hauteur de cinquante-cinq millions de dollars auxquels s’ajoutent vos frais de soins qui seront remboursés intégralement. Et, pour des raisons évidentes de patriotisme et d’unité nationale en ces temps difficiles, nous comptons sur votre discrétion. »



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chapitre sept
☇ juin 2012 - austin, états-unis ;

« Asseyez-vous je vous en prie. Quelque chose à boire peut-être ? Un verre d'eau, un café ? Une bière ? Ah non, vous êtes plus.. vodka et gin, c'est vrai.. » Les deux époux se regardèrent, je remarquai la main de l'homme se crisper au fauteuil alors que la jeune femme baissait les yeux, honteuse. « Oups. Vous devez avoir des choses à vous dire, je vous laisse. Y'a trop d'ondes négatives dans cette pièce, oulalala. » J'aimais faire mon numéro, destabiliser les autres, c'était ma grande spécialité. Je pris ma canne et tirai ma révérence, dans une pièce un peu plus à l'écart où je pouvais écouter mes clients. Et ce que j'avais pu dire n'était qu'une mise en bouche. « Tu lui as dit pour tes problèmes d'alcoolisme ? Je pensais que tu en avais fini avec ça ! Franchement, c'est... inqualifiable comme attitude, tu as honte j'espère.» La jeune femme se mit à respirer d'une façon plus saccadée, comme si cette dernière pleurait ou simulait des pleurs. De toute évidence, la deuxième idée était la bonne. Je revins avec deux cafés et une bouteille d'eau, que je venais d'ouvrir pour prendre à nouveau mes cachets. « Je ne vous ai pas trop manqué ? Parce que vous, si. Non je plaisante. Voici l'histoire, madame a demandé une enquête sur votre chère Veronica, enfin, jusque là, elle ignorait son nom, n'est-ce pas ? Rien de bien entraînant pour le moment, jusqu'à ce que je tombe sur ce document. » Je leur sortis une feuille, ressemblant vaguement à une assurance maladie. « Vous avez tous les deux contracté une assurance à hauteur de cinq cents mille dollars, juste au cas où et pour ne pas laisser l'autre dans le besoin, c'est ça Brendon ? Je veux dire... Michael. Ah non, ça, c'était dans le Michigan, ou l'Ohio. Vous pouvez m'éclaircir la mémoire ? J'ai voulu retrouver vos précédentes femmes mais il semblerait qu'elles aient... malencontreusement disparue. Pouf, comme par magie ! Enfin, plutôt dans un ravin, leur trou du lapin. » L'homme se leva, sous le regard dépité de son épouse. Je restais contre mon bureau, planté devant lui, ne reculant pas. Mon regard se mêla au sien, qui n'était que froideur et violence, souffrance aussi. Une sorte de sociopathe en quelque sorte. « Tu te crois mâlin ? Monsieur Albarn, le grand détective infirme qui n'a rien d'autre à faire à part se mêler de la vie des autres parce que la sienne n'est pas assez intéressante. » J'arquai mon sourcil, sourire narquoi en coin. « Tu lis en moi comme dans un livre pour enfant, tu ne te fies qu'aux images, c'est ce qui t'a trahi. Un livre pour enfant, avec des dessins, des images ! » La phrase de secours fut prononcée, et rien ne se passa. Je n'avais pas le droit de saisir mon arme et de me défendre, il fallait que la police agisse, et vite. Un euphémisme. M'étant fait prendre par une attitude plus que suspecte, l'homme, pris d'un excès de rage, me poussa violemment dehors, brisant ma fenêtre, nous propulsant dans la rue. Je parvins à retourner la situation, maintenant son épaule bloquée, à deux doigts d'une forte luxation voire plus, plaqué au sol. Les policiers se précipitèrent à mon bord, ma jambe me faisait un mal terrible. « Il vous faut une invitation ou quoi ? Le livre pour enfant vous a pas suffit ? » L'adjoint au shériff, en empôté de première, avala la dernière bouchée de son beignet, avant de faire intervenir ses hommes, pour arrêter l"individu. -« J'ai pas entendu mais beau boulot Alburn, beau boulot. » Je me relevais péniblement, le regardant fixement. « Barn, Albarn. Et de rien, c'est pas tous les jours qu'on arrête un meurtrier pareil. Je vous envoie la facture du vitrier, c'est gentil de vous proposer. » Je me mis à marcher vers mon agence, en boitant énormément, témoignant de ma difficulté à marcher seul, sans tuteur. La douleur était grande, d'autant plus que je sentais les quelques bouts de verres dans mon dos, confortablement installés, enfoncés. Je n'avais envie que d'une seule chose : rentrer chez moi et prendre un bain en buvant une ou deux bières bien fraîches.



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Dernière édition par L. Finnley Albarn le Lun 23 Juil - 21:32, édité 5 fois
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so hard to stay, too hard to leave it : hakuna matata bro ! ❧ FINN. Empty
MessageSujet: Re: so hard to stay, too hard to leave it : hakuna matata bro ! ❧ FINN. so hard to stay, too hard to leave it : hakuna matata bro ! ❧ FINN. EmptyDim 22 Juil - 15:36

Bonjour nyeuuuuuux

J'aurais besoin de votre aide... (ouais, à peine arrivé, il fait déjà le chiant..). J'ai pas résisté en voyant ce sublime forum, j'ai mon idée de personnage mais quant à sa tête, je reste encore dubitatif.. J'hésite entre Pattinson (qui fait bien fouine professionnelle), Pettyfer, Dornan, le style bourru mais sympathique. Est-ce que vous avez d'autres propositions, je suis preneur steuuuuplé

Merci d'avance ♥️
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so hard to stay, too hard to leave it : hakuna matata bro ! ❧ FINN. Empty
MessageSujet: Re: so hard to stay, too hard to leave it : hakuna matata bro ! ❧ FINN. so hard to stay, too hard to leave it : hakuna matata bro ! ❧ FINN. EmptyDim 22 Juil - 15:47

Bienvenue sur le forum I love you
J'avoue que perso, j'aime bien Dornan (a) Enfin, c'est mon préféré de tous quoi x)
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MessageSujet: Re: so hard to stay, too hard to leave it : hakuna matata bro ! ❧ FINN. so hard to stay, too hard to leave it : hakuna matata bro ! ❧ FINN. EmptyDim 22 Juil - 15:50

Alyssa Milano, la femme de ma vie, mon premier amour nyeuuuuuux
Merci de ton avis et pour le mot de bienvenue ♥️
Réserve moi un lien siteuplait dead
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MessageSujet: Re: so hard to stay, too hard to leave it : hakuna matata bro ! ❧ FINN. so hard to stay, too hard to leave it : hakuna matata bro ! ❧ FINN. EmptyDim 22 Juil - 15:54

Jamie Dornan pour moi I love you
Bienvenue a toi nyeuuuuuux
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MessageSujet: Re: so hard to stay, too hard to leave it : hakuna matata bro ! ❧ FINN. so hard to stay, too hard to leave it : hakuna matata bro ! ❧ FINN. EmptyDim 22 Juil - 15:57

Merci beaucoup ! Je prends note nyeuuuuuux
Excellent choix d'avatar, on la voit pas souvent la Cruzita..
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Jamie-Rose Gallagher
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ginger queenyou can't choose what stays and what fades away.
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MessageSujet: Re: so hard to stay, too hard to leave it : hakuna matata bro ! ❧ FINN. so hard to stay, too hard to leave it : hakuna matata bro ! ❧ FINN. EmptyDim 22 Juil - 15:58

J'adore Dornan, il est juste haaan quoi dead
Après, est ce qu'il correspond vraiment à ton personnage? :)

Bourru mais sympathique, c'est vrai que Pattinson c'est lui tout craché haha so hard to stay, too hard to leave it : hakuna matata bro ! ❧ FINN. 1881463262


en tout cas, bienvenue au paradis je gère ma grand mèr I love you
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MessageSujet: Re: so hard to stay, too hard to leave it : hakuna matata bro ! ❧ FINN. so hard to stay, too hard to leave it : hakuna matata bro ! ❧ FINN. EmptyDim 22 Juil - 16:01

C'est vrai que Dornan fait un peu trop vieux, je viens juste de me poser c'te question haha Arrow

Merci beaucoup, hâte de voir ce que réserve ce paradis bernard pvvv
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Desmond Michaelis
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MessageSujet: Re: so hard to stay, too hard to leave it : hakuna matata bro ! ❧ FINN. so hard to stay, too hard to leave it : hakuna matata bro ! ❧ FINN. EmptyDim 22 Juil - 16:17

Bienvenu sur le forum! nyeuuuuuux Pour ma part, j'ai une grosse préférence pour Dornan mais, Pattinson pourrait également le faire (plus que bien) de ce que j'ai lu!
En tout cas, ton personnage promet d'être intéressant et original! :3 pervers
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MessageSujet: Re: so hard to stay, too hard to leave it : hakuna matata bro ! ❧ FINN. so hard to stay, too hard to leave it : hakuna matata bro ! ❧ FINN. EmptyDim 22 Juil - 16:58

Merci beaucoup ! Dilemme, dilemme... Je prends note, je verrais au fil de l'histoire nyeuuuuuux
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Game Gallagher
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MessageSujet: Re: so hard to stay, too hard to leave it : hakuna matata bro ! ❧ FINN. so hard to stay, too hard to leave it : hakuna matata bro ! ❧ FINN. EmptyDim 22 Juil - 18:07

moi, d'après ce que j'ai vu, je dirai rob, mais bon, prends ton temps pour te décider. les yeux goshh
bienvenue sur stop loss, merci pour les compliments, j'ai hâte de lire ta fiche, ton perso à l'air super interessant. l\'autre fangirlI love you
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Jeremiah Holden
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MessageSujet: Re: so hard to stay, too hard to leave it : hakuna matata bro ! ❧ FINN. so hard to stay, too hard to leave it : hakuna matata bro ! ❧ FINN. EmptyDim 22 Juil - 18:10

BIENVENUE ! l\'autre fangirl
Comme beaucoup, je verrais bien Rob pour ce rôle. Il correspond assez bien je trouve :D
En tout cas, bonne chance pour la suite et à très vite sur le forum so hard to stay, too hard to leave it : hakuna matata bro ! ❧ FINN. 3336834736
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MessageSujet: Re: so hard to stay, too hard to leave it : hakuna matata bro ! ❧ FINN. so hard to stay, too hard to leave it : hakuna matata bro ! ❧ FINN. EmptyDim 22 Juil - 18:52

Merci à vous deux nyeuuuuuux
J'ai opté pour Pattinson finalement ! J'espère ne pas te décevoir Game so hard to stay, too hard to leave it : hakuna matata bro ! ❧ FINN. 456023687
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Michael Shider
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MessageSujet: Re: so hard to stay, too hard to leave it : hakuna matata bro ! ❧ FINN. so hard to stay, too hard to leave it : hakuna matata bro ! ❧ FINN. EmptyDim 22 Juil - 18:55

PATTINSON nyeuuuuuux j'aurais voté Pettyfer, mais de ce que j'ai commencer ta présentation elle colle parfait à Robert nyeuuuuuux

Bienvenue parmi nous; en couple avec sa canne en bois d'arbre. WTF ? so hard to stay, too hard to leave it : hakuna matata bro ! ❧ FINN. 1881463262
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MessageSujet: Re: so hard to stay, too hard to leave it : hakuna matata bro ! ❧ FINN. so hard to stay, too hard to leave it : hakuna matata bro ! ❧ FINN. EmptyDim 22 Juil - 18:58

Il est amoureux de sa canne, c'pas de sa faute quand même s'il est fétichiste so hard to stay, too hard to leave it : hakuna matata bro ! ❧ FINN. 1881463262
Merci en tout cas, c'est un bel accueil que vous m'avez réservé nyeuuuuuux
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Michael Shider
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MessageSujet: Re: so hard to stay, too hard to leave it : hakuna matata bro ! ❧ FINN. so hard to stay, too hard to leave it : hakuna matata bro ! ❧ FINN. EmptyDim 22 Juil - 18:59

j\'réfléchi 8D avec une canne faut avoir un sacré grain quand même.
J'ai hâte de lire ta fiche en entier **
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MessageSujet: Re: so hard to stay, too hard to leave it : hakuna matata bro ! ❧ FINN. so hard to stay, too hard to leave it : hakuna matata bro ! ❧ FINN. EmptyDim 22 Juil - 19:01

Ca doit faire moins mal qu'une femme, enfin, dans sa tête jesuisconne
J'ai bientôt fini so hard to stay, too hard to leave it : hakuna matata bro ! ❧ FINN. 1417542262
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MessageSujet: Re: so hard to stay, too hard to leave it : hakuna matata bro ! ❧ FINN. so hard to stay, too hard to leave it : hakuna matata bro ! ❧ FINN. EmptyDim 22 Juil - 19:01

Tu prends Pattinson et je te fais oublier ta canne. hahah fallait bien u so hard to stay, too hard to leave it : hakuna matata bro ! ❧ FINN. 4205929361
Bienvenue et bon courage pour ta fiche. I love you
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MessageSujet: Re: so hard to stay, too hard to leave it : hakuna matata bro ! ❧ FINN. so hard to stay, too hard to leave it : hakuna matata bro ! ❧ FINN. EmptyDim 22 Juil - 19:03

Comment résister à une Blake Lively en tireur d'élite ? bernard pvvv
Réserves moi un lien de la mort qui tue, je prends Robbie haha
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MessageSujet: Re: so hard to stay, too hard to leave it : hakuna matata bro ! ❧ FINN. so hard to stay, too hard to leave it : hakuna matata bro ! ❧ FINN. EmptyDim 22 Juil - 19:05

FUCK YEAH l\'autre fangirl les yeux goshh so hard to stay, too hard to leave it : hakuna matata bro ! ❧ FINN. 4064327615
Je te réserve un lien avec plaisir. I love you dead
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MessageSujet: Re: so hard to stay, too hard to leave it : hakuna matata bro ! ❧ FINN. so hard to stay, too hard to leave it : hakuna matata bro ! ❧ FINN. EmptyDim 22 Juil - 19:20

Vivement que je finisse alors nyeuuuuuux
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MessageSujet: Re: so hard to stay, too hard to leave it : hakuna matata bro ! ❧ FINN. so hard to stay, too hard to leave it : hakuna matata bro ! ❧ FINN. EmptyMar 24 Juil - 9:13

MÉTIER/ETUDES ∞ ancien militaire, détective privé et philantrope. so hard to stay, too hard to leave it : hakuna matata bro ! ❧ FINN. 816008027 épouse moi

et ta fiiiiiche dead so hard to stay, too hard to leave it : hakuna matata bro ! ❧ FINN. 816008027 so hard to stay, too hard to leave it : hakuna matata bro ! ❧ FINN. 2347980265 elle est à tombé ! J'adore ! J'aime ton personnage nyeuuuuuux tu es validé avec grand-grand-grand plaisirs so hard to stay, too hard to leave it : hakuna matata bro ! ❧ FINN. 3336834736 so hard to stay, too hard to leave it : hakuna matata bro ! ❧ FINN. 456023687
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MessageSujet: Re: so hard to stay, too hard to leave it : hakuna matata bro ! ❧ FINN. so hard to stay, too hard to leave it : hakuna matata bro ! ❧ FINN. EmptyMar 24 Juil - 9:15

Tu as oublié de noter ton groupe j\'réfléchi 8D
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MessageSujet: Re: so hard to stay, too hard to leave it : hakuna matata bro ! ❧ FINN. so hard to stay, too hard to leave it : hakuna matata bro ! ❧ FINN. EmptyMar 24 Juil - 17:03

Quel boulet... T'acceptes toujours de m'épouser quand même ? J'peux pas te résister dead
Alors, j'hésite entre Toy soldier parce qu'il s'est engagé pour surveiller son meilleur ami, alors qu'il est complètement contre la guerre et tout ce qui s'y passe, et not even cowardice, vu qu'il n'est plus militaire et qu'il en a subi les conséquences (pertes d'un ami, sa mère refuse de lui parler, il a perdu l'entière fonction de sa jambe) Arrow
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MessageSujet: Re: so hard to stay, too hard to leave it : hakuna matata bro ! ❧ FINN. so hard to stay, too hard to leave it : hakuna matata bro ! ❧ FINN. Empty

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