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ANNABETH ☆ à repousser sans cesse les limites du réel, l'espoir rend fou

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MessageSujet: ANNABETH ☆ à repousser sans cesse les limites du réel, l'espoir rend fou ANNABETH ☆ à repousser sans cesse les limites du réel, l'espoir rend fou EmptySam 14 Juil - 16:44


slater, annabeth jenna
" cultivée, superstitieuse, réfléchie, maladroite "

NOM(S)Slater, depuis son mariage, il y a bien des années. Anciennement Halliwell, mais comme dit, ça date. PRÉNOMSAnnabeth. En un seul mot. Certains ont tendance à séparer les deux prénoms par un trait d'union, mais la brune vérifie toujours. Le second prénom que ses parents lui ont attribués est Jenna. SURNOMSEn général, c'est Anna. Mais certains l'appellent Beth. Mais la plupart du temps, c'est surtout "maman". D'autres encore trouvent toutes sortes de noms loufoques. DATE ET LIEU DE NAISSANCE7 août à Austin. ÂGE40 ans, bientôt 41... Que le temps passe vite ! NATIONALITÉAméricaine. MÉTIER/ETUDESsecrétaire juridique, fut un temps, depuis reconvertie en romancière et mère à temps plein. SITUATION FINANCIÈREPlutôt bonne. Ni trop peu ni pas assez en fait. Disons que la brune arrive à joindre les deux bouts à la fin du mois, avec même un petit extra pour chacun de ses enfants. STATUT CIVILveuve depuis peu... et mère de quatre enfants. Rien que ça ! GROUPEnot even cowardice AVATARAlyssa Milano EST-IL UN SCÉNARIO ? ∞ nope, c'est un inventé. CRÉDITS ∞ tumblr

Elle est ambidextre Δ mais écrit de la main gauche Δ elle change toujours de coupe de cheveux Δ et aussi de couleurs Δ elle adore écrire depuis son plus jeune âge Δ et a bien sûr décidé d’en faire son métier Δ elle a publié près d’une dizaine de romans déjà Δ avant de se lancer dans cette voie, elle était secrétaire juridique et bossait dans un grand cabinet d’avocats Δ elle essaye d’être une mère cool Δ ayant du mal avec l’autorité, elle tente de ne pas trop l’être envers ses enfants Δ elle adore lire Δ ainsi chaque soir avant de s’endormir elle se plonge dans un chapitre de son livre en cours de lecture Δ elle adore faire des listes Δ elle a la tête en l’air et oublie toujours quelque chose après avoir fait les courses Δ c’est souvent la chose dont elle avait le plus besoin Δ elle adore faire de la pâtisserie Δ ne passe jamais sous un échelle Δ adore la mythologie grecque Δ adore prendre des photos avec ses enfants Δ les as toujours emmené un peu partout Δ et incité à faire de nombreuses activités Δ elle passe plus de temps dans sa voiture que dans sa chambre Δ écrit beaucoup de lettres Δ tombe toujours malade Δ mais ne prends pas de médicaments pour se soigner Δ se perds toujours dans les endroits qu’elle ne connait pas Δ a peur de la guerre et de ce que ça implique même si elle n’en a jamais parlé à son défunt mari Δ elle ne sait pas bricoler et lorsqu’un appareil ménager tombe en panne, c’est soit l’un de ses fils qui s’en charge, soit un voisin, soit un réparateur Δ elle n’est pas douée en cuisine mais aimerait prendre des cours et s’améliorer Δ elle est très à l’écoute Δ adore porter des bonnets, peu importe le temps qu’il fait Δ ne supporte pas les jeux vidéos violents et les as interdits à ses fils car la guerre n’est pas un jeu, et c’est loin d’être aussi simple et drôle Δ


Spoiler:


Dernière édition par Annabeth Slater le Sam 14 Juil - 23:18, édité 8 fois
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MessageSujet: Re: ANNABETH ☆ à repousser sans cesse les limites du réel, l'espoir rend fou ANNABETH ☆ à repousser sans cesse les limites du réel, l'espoir rend fou EmptySam 14 Juil - 16:44

votre histoire

Entre eux, c’était une histoire banale. Ou peut-être pas tant que ça. Ils s’étaient connus grâce à l’intermédiaire d’amis, de leurs amis, de leurs amis. Bref, vous voyez le topo. Sauf que voyez-vous, tout n’était pas aussi simple que cela, à l’époque. Elle était déjà en ménage, et plutôt heureuse d’ailleurs. Tout comme lui. Sauf que voilà, lors de cette fameuse soirée, lorsque leurs regards de sont croisés, toutes leurs certitudes concernant leurs jolies petites vies respectives venaient de s’effacer brutalement. Il n’avait fallut qu’un regard pour briser leurs couples. Ce n’était pas un coup de foudre. C’était beaucoup plus fort que ça. En posant ses yeux sur lui, aussitôt, son pouls s’était emballé, les poils de ses bras s’étaient hérissés, ses mains devinrent moites, et elle se sentait électrisée, voire même hypnotisée, envoûtée. Ce soir-là, heureusement que son petit-ami n’était pas là, ni sa compagne à lui. Ce soir-là, ils se sont rencontrés pour la première fois, et n’ont pas pu résister à cette tension entre eux. Au final, ils avaient l’air de deux aimants, attirés l’un par l’autre, sans que quiconque puisse faire quelque chose. Annabeth n’avait jamais trompé l’un de ses compagnons. Jusqu’à ce fameux soir, qui scella la fin de son histoire actuelle, et le début d’une autre, avec Simon. Il ne leur avait pas fallut longtemps, à tous les deux, pour devenir officiellement célibataires, encore qu’ils ne le restèrent pas bien longtemps d’ailleurs. La demoiselle s’en était voulu d’avoir trompé son petit-ami, mais cela avait été plus fort qu’elle. Elle n’avait put lui expliquer le lien qui l’avait attiré vers Simon, mais c’était ce qui avait primé. Elle voulait être avec Simon, voilà tout. Entre eux, c’était passionné, fougueux, alors qu’avec son petit-ami actuel, elle s’ennuyait. Elle était désolée de tout le mal qu’elle lui avait fait. Cela n’avait jamais été son intention. Mais en voyant Simon, elle n’avait put résister. De son côté, Simon fit la même chose. Anna eut un doute, à un moment. Ils étaient jeunes après tout, et n’avaient que vingt deux et vingt-cinq ans. Et s’il ne quittait pas sa petite amie ? Combien de fois y avait-elle songé ? Sauf qu’il l’avait fait. Aussi, leur relation ne tarda pas à démarrer, et tout se passait pour le mieux.


Ou presque. À cette époque, elle était secrétaire juridique, et travaillait dans un grand cabinet d’avocat, en compagnie de nombreux avocats très doués et reconnus, tandis qu’il était encore aux beaux milieux de ses études d’économie. Cela ne faisait que quatre mois qu’ils étaient ensembles, mais ils avaient déjà choisis de vivre de le même appartement. « À quoi tu penses ? » lui avait-elle demandé en l’encerclant dans ses bras tandis qu’il était installé sur le canapé. Il avait mit un temps à lui répondre, et semblait vraiment ailleurs. Aussi, elle ne tarda pas à contourner le canapé, et à venir s’asseoir sur la table basse, plongeant ses yeux dans ceux du jeune homme. « Simon ? » avait-elle demandé en fronçant les sourcils. Ce n’est qu’à cet instant qu’il la regarda droit dans les yeux. « Je veux m’engager dans l’armée. » Aussitôt, la brune se mit à ouvrir grands les yeux. Elle ne s’était pas attendue à une telle nouvelle, et l’annonce lui avait fait l’effet d’une bombe. Pour une fois que le contexte était approprié pour utiliser cette expression. « J’en ai marre de l’économie. Je me rends compte que je veux faire quelque chose de plus important, quelque chose qui compte. Je veux défendre mon pays, et de ce fait, défendre des centaines et des milliers de personnes. » Il avait beau lui dire pourquoi ce choix, Annabeth n’était toujours pas capable de prononcer le moindre mot. « Je veux faire quelque chose qui compte, Anna. » Alors quoi ? C’était ça son leitmotiv ? Il aurait aussi bien put se diriger vers la médecine… « Pourquoi l’armée ? » lâcha-t-elle sans se rendre compte qu’elle venait de dire tout haut ce qu’elle pensait tout bas. « Je ne sais pas. J’ai toujours admiré les combattants, leur courage, leur allégeance. » Tiens, ça, il ne lui avait jamais dis… La guerre avait toujours effrayé Annabeth. Elle qui aimait tant lire, avait été traumatisée suite à certains récits qui en traitait. Peut-être était-ce justement dû à tous les détails sanglants qu’elle avait put lire, ou simplement l’idée qu’elle pourrait le perdre, mais toujours était-il qu’elle était terrifiée. Déglutissant difficilement, elle le regarda à nouveau dans les yeux en puisant dans ses réserves intérieures pour finir par lui répondre. « Très bien, si c’est ce que tu veux, je te soutiendrais, même si cette idée me terrifie au plus haut point. »


Elle l’avait accepté. Elle ne savait pas trop comment elle y était parvenue, mais elle l’avait fait, et c’était déjà beaucoup. Pendant les mois qui suivirent cette nouvelle, Simon s’occupa de toutes les démarches administratives, aussi bien pour l’arrêt de ses études que pour son désir d’entrer dans l’armée, tandis que la demoiselle continuait à travailler paisiblement. Ou pas, car plus les jours, les semaines et les mois passaient plus elle savait le départ de l’homme qu’elle aimait imminent. Elle était loin d’être rassurée. Non, elle ne voulait pas qu’il parte. Annabeth n’avait pas la moindre envie de le savoir loin d’elle, dans un pays en guerre, ou les balles et les coups de feu faisaient rage. Non mais alors vraiment pas ! Bien sûr, il ne serait pas directement confronté au front. Il faudrait d’abord qu’il soit entrainé, mais dans l’esprit de la jeune femme, cela ne changeait rien au fait que, plus tard, il se retrouverait en plein milieu d’un champ de bataille, tandis qu’elle serait loin, à s’inquiéter tous les jours pour lui, sans savoir si, une fois la nuit tombée, il était sain et sauf. Elle pouvait toujours lui dire qu’elle avait changé d’avis. Oui, elle le pouvait. Mais elle ne le ferait pas. Anna n’en avait pas le droit. Après tout, si c’était ce qui le rendrait heureux, elle ne pourrait rien y changer. Et c’était également ça, aimer. Le laisser partir pour mieux revenir après. En tout cas, la demoiselle s’en persuadait. Finalement, le jour J arriva. Simon avait préparé ses quelques bagages et il n’allait plus tarder à devoir se rendre à l’aéroport. Au début, Annabeth s’était dit qu’il serait plus simple pour elle de ne pas l’accompagner, mais à présent, elle se rendait compte qu’elle ne pourrait pas ne pas le faire. « Laisse, je t’accompagne » lança-t-elle tandis qu’il était déjà en train de décrocher le combiné pour appeler un taxi. Il fut surpris par cette remarque puisqu’il fronça les sourcils. « Tu es sûre ? » Tout en déglutissant, Anna hocha la tête. C’est ainsi que quelques minutes plus tard, ils se trouvèrent dans la voiture de la jeune femme qui les conduisait à l’aéroport. Durant tout le trajet, ni l’un, ni l’autre ne fut capable de prononcer le moindre mot. C’était dur, pour tous les deux. Mais lorsqu’ils arrivèrent à l’aéroport, et surtout devant la porte d’embarquement, quelques minutes plus tard ils changèrent de comportement. « Tu vas me manquer » lâcha-t-elle avant de se blottir contre lui la dernière fois avant un long moment. « Je t’aime. » Tandis qu’il resserra un peu plus fort leur étreinte, quelques larmes roulèrent sur les joues d’Anna. « Je t’aime aussi. Tu as intérêt à revenir, d’accord ? Et… En un seul morceau. » Il hocha la tête, avant de déposer un doux baiser sur ses lèvres. « Je te promets que tout ce passera bien. Prends soin de toi, d’accord ? » Cette fois-ci, ce fut à son tour de hocher la tête, tandis qu’il se dégageait petit à petit. Ils s’embrassèrent encore un moment, avant que Simon ne recule à petit pas, pour finir par se retourner, et avancer vers la porte d’embarquement, se retournant vers Annabeth plusieurs fois, tandis que celle-ci murmurait encore quelques « Je t’aime ». Elle aurait put lui dire de ne pas y aller. Mais les mots ne sortaient plus de sa gorge.


Cela faisait maintenant un an que Simon était loin d’elle, et malgré les lettres, le moral de la demoiselle commençait à baisser. Il lui manquait beaucoup trop, et elle ne savait pas combien de temps encore elle pourrait supporter leur éloignement. Le jour de son anniversaire, Annabeth était allée rendre visite à ses parents. De toute façon, elle n’avait rien de mieux à faire. La seule personne avec qui elle aurait eu envie de le fêter était loin… Elle passa une bonne après-midi, et ne rentra chez elle que vers dix-sept heures. En rentrant dans l’appartement, elle fut surprise de voir des post-it par terre, avec sur chacun un seul et unique mot, le tout formant une phrase. Avant même de les lire, elle ne put s’empêcher de l’appeler. « Simon ?! » Son excitation à l’idée de le revoir était palpable. N’entendant aucune réponse, elle se mit à suivre et lire les post-it, recomposant alors la phrase. « Crois-tu vraiment que j’aurais pût manquer ce jour exceptionnel ? » Annabeth se mit à sourire. C’était vrai qu’elle avait espéré le voir, mais elle n’avait jamais imaginé qu’il serait effectivement là. Le chemin de post-it s’arrêtait à la chambre à coucher, où la porte était fermée. La jeune femme inspira et expira à fond avant de la pousser et de se retrouver nez à nez avec l’homme qu’elle aimait. Il lui souriait, tandis qu’elle prit son élan pour lui sauter dans les bras. Cela faisait bien trop longtemps qu’ils ne s’étaient ni vus, ni touchés, ni parler de vive voix. « Je suis là, et en un seul morceau ! » Le son de sa voix indiquait clairement qu’il souriait en même temps. « Comme tu m’as manqué ! » lâcha-t-elle, ravie de le retrouver pour un temps, même si elle savait très bien que cela ne durerait pas indéfiniment. « Je ne pensais vraiment pas que tu viendrais. » Lentement, il desserra son étreinte et la reposa à même le sol en plongeant son regard dans le sien. « Je ne pouvais vraiment pas rater ça. » Anna se mit à sourire. Quel bel anniversaire ! « J’ai un cadeau pour toi » lança-t-il en cherchant dans sa poche ledit cadeau, tandis que la demoiselle fronçant les sourcils. « Vraiment ? Tu n’étais pas obligé… » Elle avait voulut rajouter « de faire ça » dans sa phrase, mais en le voyant sortir un étui de sa poche, elle s’était automatiquement stoppée. « Qu’est-ce que… ? » Il ne lui laissa pas le temps de terminer, puisqu’il ne tarda pas à ouvrir l’étui, dans lequel une magnifique bague reposait. Annabeth était bouche bée, et n’en revenait pas. Était-ce ce à quoi elle pensait ? « Annabeth Jenna Halliwell… » commença Simon. Et bien oui, il fallait croire que c’était bien ça. « Tu es la femme la plus incroyable que j’ai rencontré. Il a suffit d’un regard pour que je tombe amoureux. Un regard et j’étais à tes pieds. Mais cela fait près d’un an et demi que nous sommes ensembles maintenant, et ce n’est que le début d’une longue histoire. Alors, voudrais-tu devenir ma femme ? » La gorge de la demoiselle était nouée, et elle sentait que d’ici quelques minutes, elle se mettrait sans doute à pleurer. Une demande en mariage le jour de son anniversaire, alors qu’elle ne s’attendait même pas à le voir en ce jour particulier, c’était beaucoup. Elle se mordit la lèvre afin de ne pas craquer et essaya de se redonner une certaine contenance. La brunette se mit à faire la moue, regardant fixement la bague, l’air d’hésiter, avant de lui sourire, et de lui répondre un doux et délicat « Oui. »


Le lendemain, après une folle nuit d’amour où le couple a enfin put se retrouver, ils ne tardèrent pas à se rendre à la mairie, à appeler leurs familles proches. Annabeth n’avait pas de robe de mariée, mais elle s’en moquait. Elle avait estimé qu’une simple robe blanche ferait l’affaire, et c’était vrai. Nul besoin de perdre une année à organiser un mariage démentiel qui leur couterait la peau des fesses. L’essentiel c’était de le faire, de sauter le pas. Peu importait la tenue, le maquillage, les fleurs. Quelques heures plus tard, la demoiselle devint officiellement une femme, et surtout une « Madame ». Elle n’était plus Annabeth Jenna Halliwell mais Annabeth Jenna Slater, et ce nouveau statut la rendait incroyablement euphorique. Madame Simon Slater. Oui, ça le faisait. Mais son euphorie ne tarda pas à disparaître lorsqu’elle apprit que son mari – ce mot était tout nouveau pour elle, mais elle adorait l’employer à tout bout de bras – n’était là que pour le week-end. Autrement dit, ils ne leur restaient que très peu de temps ensembles, et la bonne humeur de la jeune mariée tomba rapidement. Elle ne voulait pas qu’il parte. Ils venaient à peine de se retrouver et de profiter. Non, c’était cruel… Mais elle n’eut pas le choix… Le lendemain, Simon repartit, à contrecœur, certes, mais tout de même. Deux mois plus tard, la demoiselle s’empressa d’aller à la pharmacie, paniquée. « Un test de grossesse, s’il vous plait ? » Ni d’une ni de deux, une fois son test en main, et son paiement effectué, elle s’empressa de rentrer chez elle, et d’aller aux toilettes. C’est fou comme le temps passait beaucoup moins vite quand on attendait quelque chose, non ? Finalement, après trois petites minutes qui parurent une éternité à la demoiselle, elle vit sur le test la réponse à sa question. Quelques jours plus tard, elle envoya un colis à son mari, au lieu d’une simple lettre. Le contenu de ce colis ? Très simple. Une paire de chaussons pour bébé, ainsi qu’un petit tee-shirt de la même taille. Autrement dit, drôle de façon d’annoncer à un homme qu’il va être papa. Annabeth en était consciente, mais ils n’avaient jamais rien fait comme il se devait. Alors pourquoi changer ? Simon n’avait pu revenir de suite. Forcément, vu qu’il avait eu la chance de rentrer le temps d’un week-end deux mois plus tôt, il ne pourrait pas le faire directement. Mais le couple communiquait par lettre, et Anna lui faisait part de son angoisse à être mère alors qu’il était loin, et que même s’il avait droit à un congé paternité, celui-ci ne durerait que quelques jours. Autrement dit, elle serait seule pour élever cet enfant. Ou presque. Parce que même s’il pouvait rentrer de temps en temps, et que lorsqu’ils n’auront plus besoin de lui pour tuer des gens (ennemi ou pas, ces gens restaient des êtres humains comme tout le monde) il serait à la maison, cela ne changeait rien à la situation. Finalement, la grossesse d’Anna arriva à terme, et Simon arriva quant à lui à temps. Juste pour assister à la naissance de son fils, Duncan, et aux hurlements de sa femme. « Faites sortir cet enfant de mon utérus ou je ne réponds plus de moiiiiiiiiiii ! ». Glamour. Très glamour. Sans oublier la position très avantageuse, la douleur sur le visage, et la sueur… « Oh mon dieu. Nous sommes parents ! » laissa-t-il échapper lorsque l’enfant cria. Anna, qui serrait à présent leur fils dans ses bras, essayait de contenir ses émotions et de ne pas pleurer, alors que Simon lui-même était tout chamboulé. Ainsi, onze jours passèrent dans la plus grande sérénité. Sans compter les nombreux pleurs de bébé.


Puis il repartit. Leur vie de couple se résumait à des allers et venus de temps à autre, des lettres, voire des colis, et parfois des appels. Non, franchement, il y avait mieux. Le pire, c’est qu’Annabeth ne savait jamais quand elle le reverrait, ou même si. C’était ça, être femme de militaire. Une guerre se terminait, les soldats passaient quelques mois avec leurs familles, voire même quelques années, jusqu’à ce qu’une nouvelle guerre éclate et qu’ils soient rappelés au front. Aucune certitude… Et si ce n’était pas une guerre, c’était une simple intervention, peu importait sa nature. Toujours était-il que chaque année ou presque, de nombreux militaires étaient sollicités dans de nombreux pays. Forcément, lorsqu’ils étaient ensembles, ils profitaient. Et Annabeth se débrouillait plutôt bien avec Duncan. Pendant son temps libre, elle avait décidé d’écrire. Au début, ce n’était que par besoin. Elle avait des choses à dire, et avait décidé de romancer son histoire, leur histoire, à Simon et elle. Et arrivé au bout, sa famille l’avait convaincue de proposer son manuscrit, chose qu’elle avait faite. De fil en aiguilles, la maison d’édition qui avait décidé de la publier avait souhaité un contrat permanent avec elle, étant tout bonnement tombé amoureux de sa plume, de son style. Anna quitta alors son job de secrétaire juridique, et décida de devenir romancière, et de continuer à écrire, chose qu’elle adorait faire. Quelques mois plus tard, elle attendait son second enfant. Sauf qu’en fait, il n’y avait pas un enfant mais deux. Elle ne le découvrit que quelques mois après. Des jumeaux. Elle allait avoir des jumeaux, en plus de Duncan qui avait à peine un an, d’un appartement trop petit, d’un salaire loin d’être fixe, et d’un mari absent. Comment allait-elle bien pouvoir faire ? Mais Simon revint. Pas le temps d’une simple permission, cette fois-ci. « C’était un accident de rien du tout. » Oui, enfin, ça, c’était ce que lui en disait. En vérité, son bras droit avait été bien amoché, et avait nécessité de la chirurgie. Il lui faudrait du temps pour récupérer. Mais ce n’était pas plus mal. Annabeth était ravie de retrouver son mari, même si sa blessure l’inquiétait encore plus. Le couple décida alors d’emménager dans une maison. Annabeth avait vingt-six ans lorsque les jumelles : Megan et Lucy naquirent. Simon, quant à lui en avait déjà vingt-neuf. Son bras mit plus de temps que prévu à se remettre, et sa femme ne s’en plaignit guère. En réalité, elle appréhendait le jour où il devrait repartir. Elle avait de plus en plus peur, qu’un jour, on vienne lui annoncer que son mari était mort au combat… Elle ne pourrait jamais s’occuper de ses enfants seuls ! Mais deux ans plus tard, Simon était toujours à la maison. Il suivait bien sûr des séances de rééducation, mais son bras avait sérieusement été amoché. Par ailleurs, le petit Perry ne tarda pas à rejoindre la famille. Finalement, le couple menait à présent une vie de famille tout ce qu’il y avait de plus normal, et Anna en fut ravie. Mais arriva le jour où Simon dû repartir. Pour l’Irak, cette fois, où la guerre faisait rage. Soit en 2003.


2010. Cette guerre là, fut sans doute la plus horrible qu’Annabeth ai vécu jusqu’ici. Il lui arrivait de ne pas avoir de nouvelles de son mari pendant des semaines, voire des mois. Elle ne fermait plus l’œil de la nuit de peur qu’il lui soit arrivé quelque chose. Du coup, ses journées avec les enfants étaient plus difficiles, d’autant plus qu’elle avait toujours mille et une choses à faire. Et un jour, en se levant le matin, après avoir dormit quelques heures seulement, elle sentit que quelque chose n’allait pas. Toute la journée, une ombre avait pesé sur elle. À tout moment, Annabeth s’attendait au coup de grâce. Et celui-ci arriva vers dix-neuf heures, en plein dîner. La porte avait sonné, et la femme s’était éclipsée pour aller ouvrir, sachant déjà que ses enfants de 14,12 et 10 ans, auraient fichu un sacré bazar à son retour. Sauf qu’en ouvrant la porte, et en voyant Elijah, l’un des compagnons de Simon, qu’elle avait eu la chance de rencontrer à plus d’une occasion, Anna comprit tout de suite. Elle l’avait pressentit en plus… « Annabeth… » Elle avait eu raison. « Non… Non ! » Il se contenta de baisser la tête, avant d’ouvrir à nouveau la bouche. « Je suis désolé… » Et il semblait l’être. Sa voix était emplie de compassion. Et pourtant, la brune n’avait qu’une envie : retourner en arrière, et effacer tout cela. Elle continuait de murmurer des « non » à tout bout de bras, n’arrivant pas à y croire. Ne voulant pas à y croire. Après plus d’une dizaine de fidèles et loyaux service envers son pays (plus qu’à sa famille d’ailleurs), il était partit… Il avait succombé. Non, elle ne voulait pas le croire. Alors, elle se mit à frapper le torse d’Elijah, qui la laissa faire, avant de la serrer dans ses bras dans le but de la réconforter. Les larmes coulaient sur l’uniforme du jeune homme mais elle s’en moquait. Elle venait de perdre son mari. Pourquoi s’était-il donc engagé dans l’armée, sachant qu’en faisant cela, il serait un pion, qu’on déplace à sa guise, et que l’on utilise lorsqu’on en a envie, ou besoin. À cet instant précis, elle lui en voulait. Elle lui en voulait de l’avoir laissée seule, avec trois enfants, et une plaie béante et douloureuse causée par le chagrin suite à sa perte. Oui, elle lui en voulait. C’était stupide comme réaction, mais c’était la seule chose dont elle était capable à cet instant. « Annabeth… Les enfants… » Elle redressa immédiatement la tête, qu’elle avait lovée contre le torse d’Elijah, et se retourna, en voyant ses quatre enfants derrière elle. Soudain, ses larmes redoublèrent. Ils avaient tant hérités de leur père. Cela lui faisait mal, tellement mal. Comment allait-elle pouvoir annoncer à ses enfants que leur père n’était plus de ce monde. Qu’il était mort au combat, et qu’il recevrait sans doute un nombre incalculables de médailles posthume, tout comme il aurait le droit à des funérailles dignes de ce nom. Cela ne les aiderait en rien. Cela ne l’aidait pas elle-même… « Tu veux que je reste un peu ? » demanda Elijah, sentant combien la mère de famille était désarmée. Celle-ci hocha la tête, et l’invita à entrer, en se forçant à sourire, malgré ses larmes, et en lui murmurant un simple « Merci. »


2012. Cela faisait deux ans maintenant, mais Annabeth avait toujours du mal à réaliser la chose. Depuis toujours, elle avait interdit à ses enfants de jouer à des jeux vidéos de guerre, mais depuis le décès de leur père, ceux-ci avaient compris pourquoi et n’avaient jamais cherché plus loin. Enfin, c’était ce qu’elle croyait. Car Duncan avait apparemment d’autres idées en tête. Depuis quelques mois, Elijah était de retour à Austin. Il avait apparemment du temps devant lui. Une histoire de permission, de camp de base pas très loin, d’un an. Annabeth n’avait rien compris. Elle ne cherchait même plus à le faire à présent. Cela faisait donc quelques mois que les deux avaient repris contact, car depuis le décès de Simon, ils ne s’étaient pas revus. Il faut dire qu’Elijah avait beaucoup de tendresse pour la brunette, et qu’elle lui avait vraiment faite mal au cœur, lorsqu’il était venue foutre en l’air sa vie. Alors, il avait décidé d’être là pour elle, de l’aider au mieux. Parce qu’à présent, c’était tout ce qu’il pouvait faire pour elle, et pour les enfants. « Tu sais pas la meilleure ?! » lâcha-t-elle en s’installant brutalement en face d’Elijah, sur la terrasse d’un café. « Non, mais tu ne vas pas tarder à me le dire. » Elle leva les yeux au ciel, feignant d’être exaspérée. « Duncan a décidé qu’il s’engagerait dans l’armée, lui aussi, quand il en aurait l’âge ! » Aïe. Et dire qu’Elijah venait de penser qu’elle allait mieux, et que cela faisait plaisir à voir… « C’est tout à son honneur, remarque. » Cette fois-ci, la brune se figea, l’air agacée, avant de finalement le fusiller du regard. « Quoi ? Je te rappelle que je suis militaire. Tu t’attendais à quoi ? » Annabeth ramena sa tête entre ses mains, accoudée à la table. Elle se serait bien arraché les cheveux, mais elle n’en fit rien. La plaie béante qu’avait laissée le décès de son mari venait de se faire sentir. Les points de sutures fictifs, qu’elle s’était mit petit à petit, venait d’éclater, et voilà qu’elle saignait. Elle perdrait tout son sang si cela continuait ainsi… La mère de famille ferma les yeux quelques instants, et soupira profondément. Les larmes allaient lui venir, elle le savait. C’était toujours comme ça… Il fallait qu’elle les retienne. Soudain, elle sentit une main sur la sienne, une main qui la poussait à changer de position. Et c’est ce qu’elle ne tarda pas à faire. En relevant la tête, et en baissant le bras, elle vit Elijah la regarder avec tendresse, tout en tenant sa main dans les siennes. « Je suis désolé Anna. Je lui parlerais, je te le promets. Ca ne recommencera pas, d’accord ? » Il était tellement prévenant, et tellement attentionné. Le pire, c’est qu’il n’avait pas à l’être. Rien ne l’y obligeait. Pourtant, il était revenu, et il était toujours là, à l’aider à remonter la pente. Qu’est-ce qu’elle ferait sans lui ? Oui, Elijah était un bon ami. Mais… Annabeth se rendit compte qu’il ne l’avait qu’appelé Anna, et que son cœur à elle avait fait un bond au contact de sa main sur la sienne. Serait-il plus qu’un simple ami ? La mère de famille déglutit difficilement, chassant par la même occasion cette pensée de sa tête. Même si c’était le cas, il ne pourrait rien se passer entre eux. Il était le meilleur ami, et le plus fidèle compagnon de son défunt mari. Ce genre de chose ne se faisait pas. Simon lui en voudrait… Non, vraiment, la pire idée qui soit ! Pourtant, en imaginant un seul instant une vie à ses côtés, la brune eut envie de sourire…


Dernière édition par Annabeth Slater le Dim 15 Juil - 0:51, édité 20 fois
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Michael Shider
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ANNABETH ☆ à repousser sans cesse les limites du réel, l'espoir rend fou Tumblr_lxj4sby94W1r6ixtco3_250
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MessageSujet: Re: ANNABETH ☆ à repousser sans cesse les limites du réel, l'espoir rend fou ANNABETH ☆ à repousser sans cesse les limites du réel, l'espoir rend fou EmptySam 14 Juil - 17:10

JUMINEEEEEEEEEEEEETT nyeuuuuuux coeur quoi 8D bernard pvvv T'est belle avec Alyssa **
J'ai hâte de lire cette présentation qui va être ouf te connaissant nyeuuuuuux
bonne chance pour ta fiche et je te réserve Alyssa pour trois jours I love you dead
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Tessa Carter
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MessageSujet: Re: ANNABETH ☆ à repousser sans cesse les limites du réel, l'espoir rend fou ANNABETH ☆ à repousser sans cesse les limites du réel, l'espoir rend fou EmptySam 14 Juil - 17:12

Je connais pas Alyssa, honte à moi. Arrow
bienvenue et bon courage pour ta fiche. canananaard
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MessageSujet: Re: ANNABETH ☆ à repousser sans cesse les limites du réel, l'espoir rend fou ANNABETH ☆ à repousser sans cesse les limites du réel, l'espoir rend fou EmptySam 14 Juil - 17:33

Juminette nyeuuuuuux Merci de m'avoir aidé (oui bon, c'était pas ton idée de perso préféré mais osef xD) Merci pour la réservation, et j'espère que cette fiche te plairas autant que les autres je gère ma grand mèr

Tessa, tu ne connais pas Alyssa ? dead Elle a joué dans Charmed I love you
En tout cas, merci pour l'accueil :)
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Tessa Carter
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MessageSujet: Re: ANNABETH ☆ à repousser sans cesse les limites du réel, l'espoir rend fou ANNABETH ☆ à repousser sans cesse les limites du réel, l'espoir rend fou EmptySam 14 Juil - 17:45

J'ai jamais regardé Charmed Arrow mais elle est jolie ! I love you
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Game Gallagher
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ANNABETH ☆ à repousser sans cesse les limites du réel, l'espoir rend fou Tumblr_lu55vgqHoI1qktyo0o2_500
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MessageSujet: Re: ANNABETH ☆ à repousser sans cesse les limites du réel, l'espoir rend fou ANNABETH ☆ à repousser sans cesse les limites du réel, l'espoir rend fou EmptySam 14 Juil - 18:30

CHOUCROUTE? LES 1D ? Arrow sortiiiiiii
bienvenue, bonne chance pour ta fifiche ANNABETH ☆ à repousser sans cesse les limites du réel, l'espoir rend fou 312592122
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MessageSujet: Re: ANNABETH ☆ à repousser sans cesse les limites du réel, l'espoir rend fou ANNABETH ☆ à repousser sans cesse les limites du réel, l'espoir rend fou EmptySam 14 Juil - 18:57

Haaan Tessa, t'as loupé quelque chose les yeux goshh
Game, tu m'as tuée ANNABETH ☆ à repousser sans cesse les limites du réel, l'espoir rend fou 1881463262 En tout cas, merci beaucoup I love you
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MessageSujet: Re: ANNABETH ☆ à repousser sans cesse les limites du réel, l'espoir rend fou ANNABETH ☆ à repousser sans cesse les limites du réel, l'espoir rend fou EmptySam 14 Juil - 22:47

alyssa ! tellement rare sur les forums, ça me rappelle coeur quoi 8D charmed bienvenue
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MessageSujet: Re: ANNABETH ☆ à repousser sans cesse les limites du réel, l'espoir rend fou ANNABETH ☆ à repousser sans cesse les limites du réel, l'espoir rend fou EmptySam 14 Juil - 22:48

Haaan Keira nyeuuuuuux Pareil pour elle, on ne la prends pas assez, à tord d'ailleurs, parce qu'elle est magnifique.
Tu sais quoi ? Je me suis moi-même donné envie de regarder charmed, donc bon x) ANNABETH ☆ à repousser sans cesse les limites du réel, l'espoir rend fou 1881463262
En tout cas, merci pour cet accueil ANNABETH ☆ à repousser sans cesse les limites du réel, l'espoir rend fou 4183024371
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Michael Shider
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MessageSujet: Re: ANNABETH ☆ à repousser sans cesse les limites du réel, l'espoir rend fou ANNABETH ☆ à repousser sans cesse les limites du réel, l'espoir rend fou EmptyDim 15 Juil - 20:03

Ma juminette d'amour que j'aime plus que tout canananaard nyeuuuuuux tu est validéééééééée parce que ta fiche est parfaite que veux tu, mais ça ne m'étonne jamais, tu fais jamais des trucs pourris t'façon I love you
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MessageSujet: Re: ANNABETH ☆ à repousser sans cesse les limites du réel, l'espoir rend fou ANNABETH ☆ à repousser sans cesse les limites du réel, l'espoir rend fou EmptyDim 15 Juil - 20:05

Arrête je suis toute rouge tomate on 8D Je suis ravie que ce soit toi qui me valide (comme d'hab aussi) nyeuuuuuux Et tes compliments me vont droit au coeur I love you T'assures, jum's ! T'assures je gère ma grand mèr
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