NOM(S) ∞ Rosebury PRÉNOMS ∞ Alyson Eleanore SURNOMS ∞ Aly, Son-Son, Ella, Blondie DATE ET LIEU DE NAISSANCE ∞ Pensylvanie, 18 Octobre ÂGE ∞ 26ans NATIONALITÉ ∞ Américaine GRADES/SECTION ∞ Militaire Sergeant 1st class Infirmière & assistante kinésithérapeute (si c'est possible et si ça existe bien)SITUATION FINANCIÈRE ∞ moyenne STATUT CIVIL ∞ célibataire GROUPE ∞ devoted to my job AVATAR ∞ Ginta Lapina EST-IL UN SCÉNARIO ? ∞ nop CRÉDITS ∞ tumblr votre histoire« Un jour on se mariera Alyson ! Je te le promet ! On aura trois enfants, une grande maison, un chien et je t'offrirais tout ce que tu voudra par ce que tu sera ma femme et rien que ma femme ! Mais seulement après que je sois revenue de l'armée ! » m'avait promis Josh Languagne. Quand il m'a promit ça on avait tout juste seize ans et déjà amoureux depuis un an. J'avais rêvé de ce mariage pendant toute ma vie et j'avais toujours cru que Josh était le bon, celui qui me rendrait heureuse toute ma vie. Seulement ce jours-là il a fait deux promesses dont une qu'il n'a jamais pu tenir. Mon père avait toujours admiré Josh qui s'était toujours battus pour vivre et survivre dans la vie. Ce pourquoi quand il lui a demandé de sortir avec moi il a accepté – après une longue longue très longue nuit de discussion 'entre homme'. Et puis papa lui a fait promettre qu'il s'engage et qu'il fasse son service militaire avant de m'épouser un jour. Il a promit.
J'ai toujours dis que jamais je ne promettrais quelque chose que je ne suis pas sûr de tenir. Par ce que pour moi, les promesses, sont faite pour justement être tenue. Alors quand on ne tient pas une promesse que l'on me fait je rage, j'explose mais je finis toujours par pardonner. A Josh je n'ai jamais pardonné.
Quand il a eut l'âge de faire son service militaire on était ensemble depuis deux ans. Je l'aimais profondément. Alors l'idée qu'il aille là bas avec mon père – comme 'protecteur' – ne me plaisait guerre. Bien que j'ai toujours baigné dans la vie militaire à cause de mon père, je n'ai jamais souhaitait tomber amoureuse d'un de ces gars en uniforme. Alors voir partir mon petit ami dans cet tenue me mettait la boule au ventre. Ca me rappelait trop les soirées ou mon père partait et ou l'on était pas sur qu'il revienne. Par ce que la guerre nous prends nos hommes, nos pères, nos maris et nos fils. Pour ne jamais vivre ce que ma mère vivait je mettais fait la promesse d'éloigner alors Josh de cette vie une fois qu'il reviendrait de son service. Après tout, lui aussi avait promis.
Une année c'est long. Trop long. Surtout pour une 'enfant' qui attends le retour de l'homme qu'elle aime. Quand il est enfin revenue je me souviens mettre écroulé à terre. La trop grosse pression que j'avais accumulé descendait d'un coup. Il était revenue et vivant de surcroît. Mon père aussi avait tenue sa parole. Le protéger, c'était sa promesse. Et il ne tarissait plus d'éloge à propos de mon héro. Tant et si bien que lors d'un repas. « Alyson, ma chérie, je suis fière que Josh t'est demandé en mariage il y a un an. Au moins je serais sûr que j'aurais un gendre au service de son pays ! Il sera un bon soldat ! » lui dit-il en lui tapant l'épaule. Je lâche ma fourchette et les regardes terrorisées. Mon père comprends sur l'instant que Josh ne m'avait pas parlé de ce projet. Rapidement il me suit tête baissé jusqu'au péron. « Je voulais te le dire... » je me met à gesticuler dans tout les sens « quand Josh, quand ? Demain, dans deux jours, le jour de ton départ ou mieux dans la dernière lettre que tu m'enverrais avant de me dire que tu va mourir là bas ? Oh Joshhh tu m'énerve ! ».
Je me rappel chaque mots, chaque regards, chaque répliques. Ce soir là ça avait été notre plus grosse dispute. Aujourd'hui je me dis que j'aurais dû être plus ferme et l'obliger à changer d'avis. Malheureusement pour moi, pour lui, pour nous et pour le reste du monde, j'ai toujours étais faible fasse à lui.
(…) « Ca va tu arrive à me supporter sur deux fronts de guerre en même temps ? » me dit-il avant de recevoir un coussin dans la figure. Depuis notre dernière grosse dispute à propos de son engagement Josh et moi avions pris l'habitude de tout nous dire dès que l'on prenait une décision. Ce pourquoi dès le lendemain il s'empressa de me dire qu'il avait loué une maison sur la base militaire. Les premiers jours furent assez compliqué entre nous. Si j'avais finalement cédé sur son nouveau plan de carrière, je ne souhaitais pas vivre sur son lieu de travail. Pourtant j'ai accepté. Accepté par qu'à cet époque je faisais des études d'infirmières en ville et que la base disposé d'une infirmerie. Je mettais donc dit que je ferrais mon stage là bas et avec l'appui de mon père et de Josh j'ai finis par y arriver. Deux semaines après sa décision, on emménagea sur la base. Hors mis l'ambiance très militaire je dois dire que je mis plaisait. Je me sentais chez moi et en sécurité. Malgré ça l'angoisse de voir partir Josh à la guerre ne me quittait pas. Ses premières missions étaient simples et sans danger mais quand on reconnut enfin ses qualités de soldat, ils me l'envoyaient partout ou sa grouillé de mort. Très vite je n'ai plus supporté ces séparations à répétition ou je restais seule à la maison. Je me suis donc engagée à mon tour comme Infirmière Militaire. Sur place j'ai vu des choses que je n'aurais jamais imaginé. Si à son tour Josh m'a fait une colère monstre il a accepté. On a toujours était ainsi. On se pardonnait facilement et l'on acceptait les décisions personnelles de l'autre. Notre couple à prit du poil de la bête cet année là. J'avouerais que professionnellement parlant ces années furent les plus belles et les plus enrichissantes de mon existences. J'aimais cet adrénaline que l'ont ressentait à chaque intervention. Le mieux c'était qu'on on rentré de mission tout les deux en même temps. Par moment on était pas sur le même champs de bataille alors ces séparations nous coûtaient beaucoup. Mais nos retrouvailles en étaient des plus incroyables. J'aimais ma vie de couple mais je ne manquais jamais de demander à Josh de refuser des missions à hauts risques. J'avais trop peur de le perdre et j'avais raison.
(…) « Oh non Josh je t'en prie, pas cette fois ! JOSH ! Chéri s'il te plait ! Tu sais ce qui se passe là bas j'ten prie ! J'ai pas envie de te perdre ! » il m'a fixé longtemps puis m'a embrassé comme la première fois qu'il l'a fait. Je lui ai retenue la main et dans un silence je lui ai demandé de rester, encore une fois. Aujourd'hui je me plais à me dire que si je l'avais retenue plus longtemps il serait resté. Que s'il n'est plus là c'est de ma faute, à moi.
Quelques semaines après son départ on frappe à ma porte et apparaît devant moi deux généraux. Mon père descend de la camionnette et me fixe l'air grave. Il ne m'en fallut pas plus pour comprendre.
« Melle Rosebury, je suis le Général Kenett ! Je suis au regret de vous annoncer le décès du Soldat Josh Languagne, tombait au Pakistan lors de sa dernière mission ! » me dit-il d'un air solennelle. Quelques jours avant son départ on venait officiellement de se fiancé. On avait commencé à regarder pour les dates, les invité et tout ce qui s'en suit. On parlait même d'avoir un enfant. Mon père vient me rattraper quand je manquais de tomber du péron de ma maison. J'ai passé trois jours à l'hôpital. Sous le choc mon père resta avec moi jusqu'à l'enterrement de mon fiancé. Ce fut le jour le plus horrible de ma courte vie. Il était là. A se faire enterrer avec deux compagnons d'armes. Il était là à s'enfouir sous terre, les yeux fermer à jamais. Je n'eut pu dire qu'une chose. Son nom, dans un crie.
« JOSHHHHHHHHHHHHHHHHHH » . Les jours qui ont suivit j'ai reçus des amis de Josh. Sa famille, des militaires chevronnés ou non qui ont travaillé à ses côtés. J'étais à présent seule dans ma grande maison. J'étais à présent seule avec mes souvenirs. J'étais à présent seule.
J'aurais pu faire comme toutes ces femmes fortes et retourné le lendemain au travail et détruire tout ce qui lui appartenait mais je n'en ai pas eu le courage. Pendant des semaines j'ai erré dans ma maison. Je me postais à ma fenêtre comme pour attendre le jour de son retour. Et puis un 14 j'ai pété les plombs. C'était la date à laquelle il aurait dû officiellement revenir. J'ai saccagé ma maison, mes souvenirs, ses effets personnelles et j'y ai mis feux. Sans lui pardonner. Ensuite j'ai repris le travail. J'ai officié à la base dans un premier temps et puis je suis retourné sur le terrain. Là j'ai bien sentis que tout ce qui m'animais par le passé, m'avais quitté en même temps que mon fiancé. J'ai donc demandé mon retour à la base ou je bossais comme infirmière sous le contrôle des médecins de la base. Le boulot était moindre mais sa m'occupais l'esprit. Je ne supportais plus l'idée d'être sur le champs de bataille, ni même l'idée que mon père puisse y aller encore. Ma mère qui se confiait beaucoup à moi me caché les départs de mon père pour lui éviter mes reproches, mes demande de promesses et tout ce qui pouvait me rattacher à un espoir de retour. Depuis la mort de Josh mon père se faisait moins présent pour moi. Je sais qu'il s'en voulait et il pensait que moi aussi je lui en tenait rigueur. Pourtant c'était bien à moi que j'en voulais le plus.
(…) « Infirmière Rosebury, un patient à besoin de vos soins en chambre 213 » Je me levais précipitamment de mon tabouret et me dirigeait alors en chambre 213. J'y trouvais un homme d'âge mur qui tentait bien que mal de se lever de son lit. Je l'y aida et je le conduisis jusqu'à la salle du kinésithérapeute.
Cinq mois après que j'ai enfin accepté le décès de Josh j'ai décidé de couper les ponts avec mon statut d’infirmière. Officiellement je l'étais encore mais entre temps j'avais fais une demande pour pouvoir obtenir la formation de kinésithérapeute. On me l'avais accepté et depuis j’œuvrais avec le docteur Massé qui était devenue mon tuteur et mon professeur.
« Bonjour Alyson ! » je relevais la tête souriante béatement. Cette voix j'avais appris à l'aimer, bien qu'au début c'était mal partit. Il était le Sergent Andrew Sterling et venait d'être blessé au combat. Sa jambe gravement touché ne lui avait laissé que peu d'espoir. Pourtant il s'était bien rétablit depuis que l'on avait prit en charge. Alors tout les jours en remerciement 'de lui avoir sauvé la vie' il avait toujours une petit délicatesse pour moi. Aujourd'hui sans faute j’eus une rose blanche. C'est cet homme qui m'a changé. Il a était un parfait thérapeute et c'est pour cela que ça avait si mal commencé entre nous. Pendant les soins que je lui procurais il avait prit l'habitude de parler de son métier et rapidement il comprit que la jeune veuve éplorée dont on avait longtemps parlé c'était moi. Alors il a essayait de me faire accepter le départ de Josh. Son métier et puis les conséquences. Les derniers temps j'eusaient de violence contre lui tellement il me faisait du mal puis... comme tout mal, on en vient à guérir. C'est comme ça que l'on c'est lié lui et moi. Depuis quand je ne le vois pas une fois dans la journée je grogne et je deviens bougeons le lendemain. J'enviais même mes collègues infirmière de s'occuper plus de lui que moi.
Et puis l'inévitable arrive un jour. Un soir alors que je rangeais la salle de travail du docteur Massé. Le Sergent Andrew m'a demandé si je voulais bien lui faire faire deux ou trois exercices avant de quitter. Si j'avais accepté c'était par ce que toute la journée il avait ruminé sur son état. Il ne progressait plus aussi rapidement qu'au début et ça l'énervait. Nous nous sommes donc assis sur des tatamis et nous avons fait des étirements afin de soulageait cette douleur qu'il ressentait encore. Et puis il s'est confié
« Vous m'avez sauvé Alyson » Nous avons échangé un regard, un sourire et je lui ai retourné cette remarque. Sans lui je n'aurais jamais accepté la perte de Josh. Un geste en entraînant un autre, un sourire et un regard en entraînant des autres. Ce soir là, on en a oubliait ce barrage professionnel qui nous limité. Je le savais marié mais au fond de moi je n'avais plus la force de me mentir. Il me plaisait depuis bien trop longtemps pour que je ne joue la sainte ni-touche.
(…) « Oh je t'en prie Andrew ne joue pas le gamin effarouché ! Ta femme te trompe putin et ça fait des mois que sa dure ! Tu veux quoi qu'elle te l'écrive sur un papier ! Merde Andrew ouvre les yeux ! » Notre liaison nous l'avions sagement caché. Depuis ce soir là nous nous sommes revus des dizaines et des dizaines de fois. Il revenait de plus en plus souvent me voir et quand il partait en mission il venait toujours m'embrasser avant de partir. J'avais pris place peut à peut dans sa vie. A tels point qu'il lui arrivait de mentir à sa femme sur sa véritable date de retour pour pouvoir passer une nuit avec moi. Chez lui c'était l'anarchie. Il rentrait sa femme avait à peine cuisiné et elle dormait. Quand il osait lui faire un reproche elle se mettait à hurler tellement fort que le voisinage connaissait leur vie par cœur. Mais le lendemain rien ne paraissait sur leur visage. L'ultime réconciliation conjugale vous connaissez ? J'en étais verte !
Ca faisait des mois, si ce n'était plus, qu'elle le trompait avec des jeunes recrues. Toutes les femmes du quartier le savait mais aucune, même les amies d'Andrew, n'osait lui en parler. Elles avaient mal pour lui mais n'osait dire mot de peur des représailles de sa femme. Combien de soir j'ai du me taire par ce que je ne voulais pas le faire souffrir. Et puis il y a eut un ras le bol général le soir ou il m'a dit vouloir tout stopper. C'est moi qui est pété les plombs. Au fond de ses yeux j'ai su qu'il savait pour sa femme mais il lui pardonnait ou l'acceptait. Du moins j'eus compris qu'il souhaitait redonner un nouveau souffle a son couple.
« Merde Aly' on a sept ans d'écart ! Sept ans ! Tu t'imagines ?... tu est si jeune » m'avait-il sortit comme excuse. Je ne le comprenait pas. Son couple battait davantage de l'aile mais il suffisait à sa femme de se mettre à genoux en pleurant quand il l'a surprenait avec un soldat qu'il lui pardonné. Finalement c'était moi qu'il quittait C'était à n'y rien comprendre. Il souffre de ce voir être le cocu de service et il reste avec elle. Pourtant c'est à moi qu'il susurrait des je t'aime la dernière fois et qui lui apportait toutes la tendresse et la douceur qu'il ne recevait plus de sa femme depuis longtemps maintenant. Comment peut-on rester avec un personne que l'on est plus capable d'aimer ? Ca me dépasse.
Aujourd'hui je vis toujours dans cette maison sur la base. Je n'ai toujours pas eu de contact avec mon père et Andrew ne m'adresse plus un mot. Pourtant je sens son regard sur moi à chaque minutes. Je l'aime. Oui j'aime cet homme faible et j'avouerai que depuis qu'il s'est rétablit et qu'il vient de moins en moins à ses rendez-vous avec le docteur Massé, je ressens un vide énorme.
- Spoiler:
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