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JOHANN → Oiseau libre sur l'impasse de sa vie.

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MessageSujet: JOHANN → Oiseau libre sur l'impasse de sa vie. JOHANN → Oiseau libre sur l'impasse de sa vie. EmptyLun 16 Juil - 17:56


Matthew, Johann Samuel
" Loyal, solitaire, honnête, attentionné. "

NOM(S)Matthews PRÉNOMSJohann Samuel SURNOMSA la limite, on utilisera Jo' mais en réalité, il préfère qu'on use de son prénom complet. DATE ET LIEU DE NAISSANCEvingt-huit août 1987, Belfast ÂGEvingt-cinq ans NATIONALITÉBritannique et irlandaise MÉTIER/ETUDESMusicien indépendant, également barman pour arrondir les fins de mois. SITUATION FINANCIÈREMoyenne STATUT CIVILCélibataire GROUPEI'll see you soon AVATARBen Barnes (ou Dieu) EST-IL UN SCÉNARIO ? ∞ oui, celui de Jamie-Rose CRÉDITS ∞ Tumblr

Johann a eut une guitare dans les mains avant même de savoir correctement parlé, il ne s'en est, par ailleurs, jamais plus séparé par la suite, c'est un objet auquel il tient beaucoup, notamment parce qu'il appartenait à son défunt père, mort en service militaire. Δ Depuis que sa soeur s'est engagée comme médecin, Johann s'est quelque peu détacher du reste des gens, devenant encore plus solitaire qu'autrefois, blessée qu'elle mette sa vie en danger. Δ Il possède un chien, Reed, qui est le seul véritable ami proche qu'il est eut depuis qu'il n'a plus le soutient de Jamie-Rose à ces côtés. pitoyable, N'est-ce pas ? Δ Il rêve de pouvoir vivre entièrement de sa musique et ne désespère pas de pouvoir un jour vendre un titre qu'il aurait lui-même écrit. Pour l'heure, il enchaîne les concerts dans des salles presque vide mais il s'en fiche, il fait ce qu'il aime. Δ S'il n'en dit rien, il supporte peu son prénom qui, finalement, ce révèle assez féminin avec sa phonétique: Joanne. Mais il s'y est fait. Δ mettre ici une information à propos de votre personnage Δ Il a une passion rarement divulguée pour la littérature anglaise, son côté poète qui doit ressortir, qui sait ? Δ Johann n'a jamais touché aux substances illicites et ne le fera jamais. Toutefois, depuis le "départ" de sa soeur, il a commencé à fumer de banal cigarette, comme si cela pouvait l'aider. Δ S'il n'est pas particulièrement extraverti, Johann n'est pas pour autant coupé du monde, bien au contraire, mais l'attachement est souvent signe d'une perte hypothétique de la personne à laquelle on s'attache. Et il ne veut pas ressentir ça encore une fois. Δ Johann possède un self-control incroyable, il s'énerve très rarement. Toutefois, le sujet militaire étant très sensible, il peut souvent s'énerver si on s'étend sur ce terrain là.


Spoiler:


Dernière édition par Johann Matthews le Mar 17 Juil - 10:22, édité 7 fois
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MessageSujet: Re: JOHANN → Oiseau libre sur l'impasse de sa vie. JOHANN → Oiseau libre sur l'impasse de sa vie. EmptyLun 16 Juil - 17:57

" La symphonie faisait résonner le désespoir qui s'insinuait dans nos vies si radieuses. "

« Gratte gamin, vas-y. » Il le regarde, avec cet air d’incompréhension qui lui sied tant, l’instrument dans ces petites mains si frêles et le paternel qui l’incite à gratter les cordes avec bravoure. C’est comme un parcours du combattant, qui vous happe, vous attrape, vous fait vaciller, vous enivre. A l’aveuglette, l’enfant gratte. Une fois. Puis deux. Et la mélodie s’envole. Elle tourbillonne dans l’air silencieux, créant une mélodie loupée mais qui enchante le gamin tout autant que le père. Sa main frotte les cheveux de son fils avec une fierté non-dissimuler. « Tu vois Johann, avec cet instrument, tu peux réussir toute une vie, à toi de décider de quel manière. » Un fin sourire s’épanouit sur les lèvres de Charles ‘’Chuck’’ Matthews, il est si simple de trouver dans les actions anodines une source de bonheur intarissable. La sienne, c’était sa famille. Son fils d’à peine cinq ans, sa fille, qui venait juste de naître et sa femme, qu’il aimait comme au premier jour. C’était ce genre d’amour, impétueux et magique qui surpasse l’au-delà et la distance. Ce genre d’amour qui à lui seul réussit à vous faire tenir debout et à envisager un bonheur éternel. L’amour de Rebecca & Chuck Matthews était, en effet, un modèle pour tous leurs proches mais surtout, pour leurs enfants. Leur relation devenait alors un but pour l’un comme pour l’autre. Trouver l’âme sœur. Celle qui vous fait vivre et qui vous donne envie de mourir lorsqu’elle s’éteint.

« Tu avais promis Charles. » Silencieux, l’enfant ne bouge plus, comme s’il souhaitait disparaître, aucun des deux parents n’a noté sa présence, là, derrière le fauteuil, ou il jouait à cache-cache avec un ami venu à la maison. Le soupire désespéré du père parvient à ses oreilles tels un coup de poing dans le visage. « Comprends-moi Becca, ils ont besoin de moi, là-bas. » Le sanglot étouffé de sa mère emplis l’air d’un désespoir encore inconnu dans votre maison et même Johann, sans les voir, se sent douloureusement mal. « Nous avons besoin de toi, nous aussi. » Elle implore, condamné à subir une nouvelle fois le fardeau d’une attente interminable. La peur au ventre qui attaque les tripes à chaque instant. Il n’est qu’un enfant, et pourtant il comprend. Il sait que sitôt que son père franchira la porte, son monde sera bouleversé. Le sourire maternelle deviendra plus rare, ses mains demeureront agrippées au téléphone dans l’attente d’un appel qui se fera rare. La paranoïa face à la sonnette de l’entrée qui deviendra sa pire ennemi. L’enfer recommencera pour elle et, Dieu que c’est douloureux pour le gamin qu’il est d’accepter cela. « Pardonne moi Becca. Je t’aime. » Il s’apprête à sortir de derrière de son fauteuil, se jeter aux pieds du paternel et l’implorer comme un gamin sait si bien le faire de ne pas l’abandonner. Pourtant, il n’en a pas le temps. « Trouvé Jojo ! » Le bambin te pointe du doigt, comme s’il était fautif. Johann sort de sa cachette devant le regard paniqué de ses parents



" Les larmes ne sont que le reflet d'une âme qui se noie. Qui silencieusement se brise. "

Le son de la sonnette avait résonné dans toute la maison de si bon matin que c’était de manière totalement naturelle que Rebecca Matthews avait ouvert la porte, persuadé d’avoir à faire face au facteurs, peut-être même aux livreurs de journaux. Pourtant, son visage pâlit immédiatement à la vue des deux hommes qui se tinrent devant elle avec cet air si austère. Johann demeurait stoïque, observant d’un œil discret, par-dessus la rampe des escaliers, il s’y accrochait si fermement, d’ailleurs, qu’il eut semblé qu’il pouvait les arracher s’il l’avait voulu. « Madame Matthews … » Son intonation ne laissait aucun doute sur les raisons de sa venu et, comme pour rejeter l’idée qui la terrifiait tant, Rebecca n’avait rien trouvé de mieux que de secouer la tête, les larmes montant déjà à ses yeux fatigués. « Non … » L’enfant frissonne face au désespoir de sa mère devant l’homme qui semble si indifférent. C’est finalement l’autre qui prend la parole, il semble plus empathique, un vieil ami de la famille qui, retirant son képi ne semble pas trouver les mots. Y a-t-il seulement des mots adéquats pour une telle atrocité ? De quelle manière peut-on annoncer à une femme que le seul amour qu’elle est jamais connu se soit éteint sous les balles d’adversaires qu’il aurait pu tenir éloigné en restant tranquillement auprès de sa famille ? « Rebecca, je suis vraiment désolé, crois-moi. Mais … » Il pose une main qui se veut réconfortant sur l’épaule de la jeune femme qui s’empresse de se dégager de l’emprise cruelle qu’il tente d’avoir sur elle. « Non. » Murmure-t-elle à nouveau. L’homme fait un pas dans sa direction, et elle ne tarde pas de reculer vivement. « Non. » Son cri terrifie Johann, qui s’aggripe encore plus aux barres de l’escalier. « Non. Non. NON ! » Avec une violence que nul ne lui connaît, Rebecca Matthews pousse les deux hommes avec toutes les forces qu’il lui reste et referme la porte, non sans oublier de la verrouillée. Lentement, elle laisse son corps glisser contre la porte de bois, déversant un torrent intarissable de larmes.

Il ne comprend pas ce qui se passe. Il ne saisit pas la douleur qui se lit dans les yeux de tous ces gens vêtus de noir qui parle de condoléances à sa maman. Il ne comprend pas pourquoi ils sont si nombreux à parler de son père. Son papa que jamais il ne reverra, son papa qui, pour toujours, les à quitter. Pourtant, c’est avec un intérêt non feint que l’enfant de sept ans et demi écoute les paroles de son oncle, qui a à peine dix-huit ans, soit près de trente ans de moins que son aîné. « Charles Matthews était un homme qui … » Il cesse un instant de parler, le silence s’impose dans la salle déjà emplis de larmes et Johann ne détache pas son regard de celui de son oncle qui, après avoir croisé celui de son filleul offre un sourire qui ne fait que démontrer toute sa douleur avant de reprendre la parole. « Je ne suis qu’un gamin. Un enfant qui douloureusement se voit obligé d’accepter une fatalité qui le détruit. Je perds le contrôle. Je perds la foi en cette humanité dont on me parlait tant. Je perds la fierté d’avoir un frère militaire. Qu’il soit mort pour l’honneur m’importe peu. Il est mort, voilà le problème. Pourquoi n’offre-t-on l’honneur qu’à ceux qui ne sont plus là pour en profiter ? » Sa question rhétorique n’obtient évidemment aucune réponses, pourtant, les militaires – et amis – de Charles Matthews demeurent, eux aussi, en l’attente d’une réponse en ce jour de deuil. Une réponse que jamais ils n’obtiendront, sans doute. « Vous voyez, je suis fier de mon frère. Non pas parce qu’il est mort en servant son pays. Mais parce qu’il était un exemple semblable à nul autre. Il avait la plus merveilleuse des épouses et des enfants qui ne méritaient pas de perdre leur père si jeune. La petite … elle ne connaîtra jamais son père, elle n’en aura jamais de souvenir. Il n’y a pas de quoi être fier de ça. Rien ne sert d’avoir l’honneur d’une guerre si ce n’est pas la guerre d’une vie. Il n’existe pas de guerre plus rude que celle d’une existence normale. Ce battre pour son bonheur quotidien. Mon frère ne connaîtra jamais ça. Et s’il a servit sa nation, que cet honneur lui soit accordé. Mais il méritait bien plus. » Sa voix s’étouffe dans un sanglot cruel avant qu’il n’achève. « Oui, Chuck méritait tellement plus. » Comme en écho à sa douleur, le silence ne se fait que plus pesant encore. Et le gamin si jeune que Johann est alors ne comprends qu’une chose : l’armée détruit les vies.

La porte se referme dans un bruit sourd, mettant un terme à votre ancienne vie comme si vous désiriez l’effacer. Rebecca Matthews avait fait un choix radical. Celui de cesser de ressasser le passé. Un passé si proche qu’il brûlait encore son âme. Elle perdait le contrôle de son existence et ne semblait plus réussir à être clair dans ces choix. C’était donc – sans doute – sous le coup d’une incommensurable douleur qu’elle avait prit la décision de quitter le domicile familial peu après la mort de son mari. Elle ne parvenait plus à supporter l’omniprésence de Charles dans chacune des pièces. Elle le voyait, rôdant dans le salon en chantonnant. Elle l’entendait lorsque Johann jouait de la guitare. Elle le sentait proche d’elle dans le lit le soir. Etait réveillée par sa présence le matin. Humait constamment l’odeur de ses vêtements et dormait dans ces vieux t-shirt pour en garder l’odeur sur elle. Elle n’était plus rien qu’une âme errante cherchant désespérément à reprendre goût à la vie tout en s’accrochant vainement à un homme qui, malgré lui, l’avait quitté. « Ressaisit toi Rebecca. Chuck n’aurait jamais accepté de te voir ainsi. Fait tes valises et viens près de moi. Tu as besoin de soutient. » Elle n’avait pas vu d’autres solutions que celle de son beau-frère. Ainsi, la veuve Matthews, valise en main, souvenir au cœur, s’en allait avec ces enfants loin de l’Irlande du Nord, emménageant en Irlande libre non loin du seul soutient qu’il leur restait : le frère de Charles.





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MessageSujet: Re: JOHANN → Oiseau libre sur l'impasse de sa vie. JOHANN → Oiseau libre sur l'impasse de sa vie. EmptyLun 16 Juil - 17:57

" Il y a certaines personnes qui restent ancrées sur vos cœurs, qui s'imprègnent dans votre esprit. "

Rebecca Matthews ne se ressaisissait pas. Elle tentait de s’accrocher à ces enfants pour ne pas tomber, toutefois, elle ne parvenait pas à remonter la pente et se laissait sombrer dans une dépression dont les espoirs de la voir un jour revenir s’était envolé. Lorsqu’il avait seize ans, Johann s’était vu contraint d’accepter, sur conseil de son oncle et malgré l’avis contraire de sa petite soeur, de laisser sa mère aller dans un centre spécialisé. La dépression l’avait rendu quasiment amorphe, elle ne bougeait plus, ne parlait plus et passait des heures entières à observer la photo de son mari sans rien faire. La vaste douleur de la perte de ces deux parents s’étaient vu quelques peu apaisé par l’arrivé de Jamie-Rose dans son existence depuis huit ans déjà. Cette ange aux cheveux flamboyants portait sur son visage un sourire masquant une douleur qui était tout autant, voir plus grande que la tienne. Il l’avait rencontré dans le confinement d’une cours d’école, lorsque, solitaire, il s’était avancé vers la rouquine en pleurs. Elle pleurait souvent. Elle pleurait toute seule. Et c’était triste de constater que personne ne s’intéressait à sa peine, que personne ne veuille l’aider à aller mieux, à chasser les larmes d’un sourire plus apaisé. Alors lui, il y était aller, lentement mais plutôt sur de lui. « It gets better. » Il n’y avait rien d’autre à dire sinon le présage d’un avenir plus radieux qu’un terne présent. Là avait commencé leur amitié.

Il pousse la porte de la chambre sans même savoir s’il en a l’autorisation, fermant la porte derrière lui en fixant le sol comme s’il pouvait voir Jamie-Rose en émerger dans la seconde. « Elle est partie. » Sa voix n’est qu’une complainte, douloureuse, cruelle. Elle ne fait que souligner la douleur qu’il ressent à voir partir ceux qu’il aime. Désormais, il ne lui reste qu’elle. Sa sœur. La seule qui a toujours été là pour lui. Et vice versa. La voix fluette de l’adolescente rompts le silence désespéré qui s’installe. « Ca va aller, Johann. » Qui espère-t-elle trompé en disant de tels mots ? Qui veut-elle berner en faisant croire que les choses vont bien aller. Son cœur se fissure une fois de plus et Johann se referme encore plus sur lui-même. Ca a commencé il y a longtemps, avec son père. Charles Matthews. Un décès, une perte, un abandon. La première fissure. La première douleur. Rebecca Matthews. Une déchéance, une perte, un abandon. La deuxième fissure. La deuxième douleur. Jamie-Rose Gallagher. Un départ, une perte, un abandon. La troisième fissure. La dernière douleur. Car il se le jure secrètement, oui, il ne veut plus souffrir. Désormais, c’est sa sœur et lui contre le reste du monde. « Non, ça ne va pas aller. » Sa voix rauque décrit une douleur incommensurable qu’il ne montre qu’à elle. Qu’il accepte de laisser transparaître derrière sa façade de solitaire amer. Il souffre. Il se détruit pour le souvenir des personnes qu’il perd peu à peu.





" L'asphyxie, c'est quand le monde s'écroule parce que nos piliers décident de déserter. "

« Je viens voir Rebecca Matthews. » Johann n’affiche qu’un visage inexpressif tandis que la jeune femme de l’accueil l’invite à passer avec un sourire poli. Mais il n’a pas envie de sourire aujourd’hui. Ni même les jours suivants, pas pour l’instant. Pour l’heure, il se contente de pousser la porte de la chambre ou il retrouve sa mère qui, comme toujours demeure stoïque, assise sur son fauteuil, regardant l’horizon grisâtre pour cette journée d’automne. Silencieux, Johann s’installe devant la matrone, hésitant à parler, attrapant affectueusement sa main, scrutant le visage de cette femme qu’il trouvait autrefois admirablement belle et qui, aujourd’hui, est si déconnecté du monde. « Elle est partie, maman. Elle aussi. » Il ne parle plus de Jamie-Rose non. Car si son souvenir revient encore à sa mémoire, il s’est résigné à ne pas la revoir de sitôt, quand bien même l’espoir de la recroisé un jour ne tarit pas. Aujourd’hui, il parle de quelqu’un d’autres. De sa sœur. Celle sur qui il pensait pouvoir compter pour toujours. Son visage se crispe légèrement mais qu’importe, sa mère ne le remarque pas. « Je lui ait pourtant dit, que papa était mort là-bas. Elle n’a pas connu la douleur de le perdre, elle ne peut pas comprendre. » Il soupire, douloureuse expiration qui ne fait que souligner la tristesse qui le happe. « Mais elle s’en fiche, elle veut se battre pour la nation. Alors elle est partie … » Pendant des heures durant, il restera là, à ne plus parler, s’agrippant aux mains de sa mère comme à une bouée de sauvetage, espérant sans doute qu’elle revienne à elle, pour qu’il ait de nouveau quelqu’un sur qui réellement compter. Mais non, il n’aura pour compagnon qu’un silence pesant.

« Sa sœur. Un départ, un choix, un abandon. La quatrième fissure. La douleur de trop.




" On s'abandonne souvent à nos passions futiles pour oublier nos vies difficiles. "

L’applaudissement se font rare, sans doute parce que la salle demeure passablement vide. Les gens ne sont pas nombreux à entendre son art, pourtant, Johann se jette corps et âme dans la musique, pour oublier ces gens, ces autres qui ne sont plus là pour lui. Ceux pour qui, lui-même n’est plus là. Car il est difficile d’accepter que les personnes auxquelles on tenait le plus prennent la décision de déserter, de quitter votre existence, consciemment ou non. Alors il avait lâché prise et avait préféré passer des nuits entières à créer sa musique plutôt que de déprimer sur des souvenirs passé. « It gets better. Pas vrai ? Ainsi était sa devise. Une devise qu’il avait même – de façon discrète – tatoué sur son bras, qui était, par ailleurs, rarement visible du même coup. Et tant mieux. C’était phrase représentait beaucoup pour lui. Une possible renaissance. C’était cette même phrase qui lui permettait encore de croire qu’il pouvait percer dans le monde de la musique. Mais il était toutefois évident que l’Irlande n’était pas le bon endroit pour cela. Qu’il devait voir plus grand que ce pays. « Va à Austin gamin. Y a toujours des musicos là-bas. » Il avait été sceptique, pourtant, Johann n’avait réellement hésité à tenter sa chance, rien ne le retenait, rien ne l’empêchait de partir là-bas et de tenter sa chance pour mener la vie qu’il voulait. Il fit donc transférer sa mère dans un hôpital d’Austin, ne voulant pas l’abandonner et il se lançait à la poursuite de son rêve, priant entre deux accords de guitare pour que sa sœur reste en vie et pour qu’il puisse revoir un joue Jamie-Rose.




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Jamie-Rose Gallagher
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MessageSujet: Re: JOHANN → Oiseau libre sur l'impasse de sa vie. JOHANN → Oiseau libre sur l'impasse de sa vie. EmptyLun 16 Juil - 18:01

mon mien. on touche pas :3 pervers

bienvenue mon oiseau libre. je t'aime déjà I love you
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Michael Shider
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MessageSujet: Re: JOHANN → Oiseau libre sur l'impasse de sa vie. JOHANN → Oiseau libre sur l'impasse de sa vie. EmptyLun 16 Juil - 18:04

Bienvenue parmi nous, quel choix d'avatar JOHANN → Oiseau libre sur l'impasse de sa vie. 2347980265 et de scénario ** parfait !
Si tu as des questions n'hésite pas le staff est là pour toi I love you
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MessageSujet: Re: JOHANN → Oiseau libre sur l'impasse de sa vie. JOHANN → Oiseau libre sur l'impasse de sa vie. EmptyLun 16 Juil - 18:07

Je me suis fait tatouer "Propriété de Jamie-Rose" sur le derrière, t'inquiète pas :3 pervers Merci ! ♥️

Merci Mikaël ! (JGL les yeux goshh )
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MessageSujet: Re: JOHANN → Oiseau libre sur l'impasse de sa vie. JOHANN → Oiseau libre sur l'impasse de sa vie. EmptyLun 16 Juil - 18:09

bienvenue officiellement Johann nyeuuuuuux
Malgré les sourcils de Ben, c'est un super choix
JE SUIS INNOCENT
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MessageSujet: Re: JOHANN → Oiseau libre sur l'impasse de sa vie. JOHANN → Oiseau libre sur l'impasse de sa vie. EmptyLun 16 Juil - 18:10

Merci madame la couguar :3 pervers JOHANN → Oiseau libre sur l'impasse de sa vie. 1881463262 (puis roh, il est bien Ben JE SUIS INNOCENT)
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MessageSujet: Re: JOHANN → Oiseau libre sur l'impasse de sa vie. JOHANN → Oiseau libre sur l'impasse de sa vie. EmptyLun 16 Juil - 19:00

j'aime ton tatouage :3 pervers
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MessageSujet: Re: JOHANN → Oiseau libre sur l'impasse de sa vie. JOHANN → Oiseau libre sur l'impasse de sa vie. EmptyLun 16 Juil - 20:34

BEN. les yeux goshh
Bienvenue sur stop loss et bon courage pour ta fiche. I love you
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Jamie-Rose Gallagher
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MessageSujet: Re: JOHANN → Oiseau libre sur l'impasse de sa vie. JOHANN → Oiseau libre sur l'impasse de sa vie. EmptyLun 16 Juil - 20:53

han, j'adore ton début d'histoire les yeux goshh
sérieux, le speech est juste magique quoi. bon dieu qu'on va s'éclater en rp quoi I love you
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MessageSujet: Re: JOHANN → Oiseau libre sur l'impasse de sa vie. JOHANN → Oiseau libre sur l'impasse de sa vie. EmptyLun 16 Juil - 22:01

et la soeur de jamie, elle peut toucher? JE SUIS INNOCENT JOHANN → Oiseau libre sur l'impasse de sa vie. 1881463262
bienvenue, ben, ce canon dead JOHANN → Oiseau libre sur l'impasse de sa vie. 4205929361
bonne chance pour la suite de ta fiche, qui est pas mal avancée, brave type JOHANN → Oiseau libre sur l'impasse de sa vie. 1147778360
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Tessa Carter
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MessageSujet: Re: JOHANN → Oiseau libre sur l'impasse de sa vie. JOHANN → Oiseau libre sur l'impasse de sa vie. EmptyMar 17 Juil - 0:44

Johann Matthews a écrit:
AVATARBen Barnes (ou Dieu)
oui.oui.oui.oui.oui. laisse-moi te vénérer jusqu'à la fin de mes jours. JOHANN → Oiseau libre sur l'impasse de sa vie. 816008027

puis bien ? BIEN ? tu te rends compte quelle insulte tu fais à Ben en disant qu'il est bien ? parce que les Ridgew

bienvenue officiellement. JOHANN → Oiseau libre sur l'impasse de sa vie. 1147778360
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MessageSujet: Re: JOHANN → Oiseau libre sur l'impasse de sa vie. JOHANN → Oiseau libre sur l'impasse de sa vie. EmptyMar 17 Juil - 7:49

Olivia, merci ! JOHANN → Oiseau libre sur l'impasse de sa vie. 312592122

Jamie, comme je l'ai dis, merci pour tous tes compliments ! (a) Puis je suis ravi que ma fiche te convienne ! I love you

Game, faudra pas le dire à Jamie par contre hein :3 pervers JOHANN → Oiseau libre sur l'impasse de sa vie. 1881463262 Merci ! ♥️

Tessa, pardoooon ! BEN EST UN DIEU, IL EST PARFAIT. Ca va là ? :3 pervers Merci JOHANN → Oiseau libre sur l'impasse de sa vie. 312592122
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MessageSujet: Re: JOHANN → Oiseau libre sur l'impasse de sa vie. JOHANN → Oiseau libre sur l'impasse de sa vie. EmptyMar 17 Juil - 9:30



Joli choix de scénario, avec Ben qui colle si bien au tout (et colle à nos rétines aussi JOHANN → Oiseau libre sur l'impasse de sa vie. 366781642), bienvenu birdboy JOHANN → Oiseau libre sur l'impasse de sa vie. 456023687
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MessageSujet: Re: JOHANN → Oiseau libre sur l'impasse de sa vie. JOHANN → Oiseau libre sur l'impasse de sa vie. EmptyMar 17 Juil - 9:40

Mouah, merci Zeb ! JOHANN → Oiseau libre sur l'impasse de sa vie. 312592122
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MessageSujet: Re: JOHANN → Oiseau libre sur l'impasse de sa vie. JOHANN → Oiseau libre sur l'impasse de sa vie. EmptyMar 17 Juil - 12:12

Ben ! Quel excellent choix nyeuuuuuux
Welcome here I love you
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MessageSujet: Re: JOHANN → Oiseau libre sur l'impasse de sa vie. JOHANN → Oiseau libre sur l'impasse de sa vie. EmptyMar 17 Juil - 12:25

ALYSSA MILANO dead JOHANN → Oiseau libre sur l'impasse de sa vie. 816008027 Merci JOHANN → Oiseau libre sur l'impasse de sa vie. 312592122
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MessageSujet: Re: JOHANN → Oiseau libre sur l'impasse de sa vie. JOHANN → Oiseau libre sur l'impasse de sa vie. EmptyMar 17 Juil - 14:54

Oui, c'est mieux comme ça. JOHANN → Oiseau libre sur l'impasse de sa vie. 1147778360 FANGIRL
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Game Gallagher
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MessageSujet: Re: JOHANN → Oiseau libre sur l'impasse de sa vie. JOHANN → Oiseau libre sur l'impasse de sa vie. EmptyMer 18 Juil - 8:48

t'es spf aussi, ça arrivera le bon pseudo pif comme dis albus
bref, je suis pas là pour ça 8D j'ai trop aimé ta fiche, et comme jamie est ok, j'te valide bg, et tu m'en seras reconnaissant toute ta vie itout pif comme dis albus JOHANN → Oiseau libre sur l'impasse de sa vie. 1147778360 JOHANN → Oiseau libre sur l'impasse de sa vie. 1881463262
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